Macron ! Jette un œil depuis ta haute fenêtre : Tu sauras peut-être ce qu’il en coûte d’être Celui de ce peuple laissé à l’abandon Et auquel jamais tu n’as demandé pardon !
Le pouvoir t’est monté bien trop vite à la tête, Et, tranquille, tu peux dormir sous ta couette : Les bruits de la rue te parviennent, (...)