Le visage émacié et le regard pervers,
Guettant du fond du trou et la tête à l’envers
La proie qu’il ajuste du bout de son fusil,
C’est bien l’itinéraire qu’il aura choisi.
L’esprit tout rabougri des versets du coran,
Il ira les gueuler tout en les requérant,
Le cerveau connecté à sa vidéothèque
Juste aussi gros que celui d’un cercopithèque.
Le turban bien noué tout autour de la tête
Pour cacher la crasse qui lui sert d’épithète,
Barbe pouilleuse comme en revendication
De son statut de morbifique sédition.
Cacochyme drogué au puissant captagon,
Le voilà devenu le nouveau parangon
D’une idéologie morbide et mortifère
Dans un pays exsangue et qui a laissé faire.
On se gargarise de versets insipides
Prônant toutes les clefs de mirages stupides…
Non ! L’islam plus jamais n’est ce que l’on a cru,
Hélas ! On est pourtant tous avalés tout crus. (6143 - 22/11/15)