S’il y en a bien un que je ne peux souffrir C’est bien chez Pujadas notre Romain Goupil : Lui donner la parole c’est bien lui offrir L’un des plus grands tréteaux qui alors m’horripile.
Il a le geste large, il en brasse de l’air, L’enveloppant alors de bien grandes brassées, Le ramenant à lui et d’un (...)