Alors que la Ségo félicitait Merkel
Dont toutes les gestions sont toujours très nickel,
Voilà que celle-ci amorce son virage :
Il est temps enfin de dissiper les mirages.
C’est que son pays est devenu saturé
De ces envahisseurs qu’on ne peut plus gérer :
C’est par centaines de milliers qu’ils investissent
Les plus grandes villes qu’à force ils rapetissent.
Et le bel élan de la solidarité
Commence à battre de l’aile et à s’effriter,
Munich en prend un coup et sa capacité
D’accueillir les migrants ne peut plus augmenter.
Mais le flot de ceux-ci se déverse sans cesse,
Avec leur baluchon et femmes en grossesse
Et désormais ils ont aussi des exigences :
Leur statut d’exilés nous commande obligeance.
Ils refusent ainsi de descendre du train :
Ils veulent la Suède, les Danois sont craints…
Quand la main est tendue, ils dévorent le bras
De langues de vipère et gueules de cobras. (13/09/15)