Il est là, l’Attali, vieilli et décati,
Il veut sauver la France, il en est tout en transes :
De ses propositions il nous en avertit,
Voilà de quoi être en pleine désespérance.
De Mitterrand déjà il fut le conseiller,
On sait bien ce qu’il en est alors résulté :
De son hypocrisie encore barbouillés
La rose fut fanée, le programme raté.
Le voilà revenu au devant de la scène
Avec un beau tracé d’une feuille de route :
En cent jours, au départ des rives de la Seine,
On peut bien s’attendre à une belle déroute.
L’ambition, à l’aune de l’imagination,
Capotera bientôt dès le premier virage :
Le socialisme ne vit que de régressions,
S’enfonçant toujours plus en quelques vains mirages.
Attali ! Il est temps de prendre ta retraite !
Une résurrection ne peut être possible :
Mieux que le pot au lait de la douce Perrette
Fais donc très attention à bien viser ta cible ! (19/04/16)