Avez-vous pris votre abonnement 2024 ? Non ! CLIQUEZ ICI !
Ou alors participez avec un DON


Découvrez des pages au hasard de l’Encyclo ou de Docu PN
A compter du 25 mai 2018, les instructions européennes sur la vie privée et le caractère personnel de vos données s’appliquent. En savoir +..

Burkini : les « collabos » de l’islamisme

, popularité : 7%
Cet article provient d'une source externe à NJ sans autorisation mais à titre d'information.

Le vert n’est pas leur seul point commun. Islamistes et écologistes partagent un même goût pour cette couleur. Mais le rapprochement va plus loin : les plus répulsifs des Verts sont prêts à pactiser avec l’islam politique pour prix de son soutien électoral. La municipalité EELV de Grenoble, dirigée par Eric Piolle, est en train de donner le spectacle de cette soumission à un communautarisme subversif : à 15 heures ce lundi, le conseil municipal devrait se prononcer sur la proposition du maire d’approuver un « nouveau règlement intérieur des piscines municipales à compter du 1 er juin 2022 ». Ce règlement vise à autoriser le burkini, tenue de bain répondant aux codes de la pudeur islamiste. Pour Piolle, accepter ce qui est pourtant l’acceptation d’une autorité masculine sur le corps de la femme est vu comme… « un progrès social ». Des féministes comme Caroline de Haas ou Alice Coffin ont apporté leur soutien à l’initiative, en signant une pétition lancée par le Syndicat des femmes musulmanes de l’Alliance citoyenne. Ce texte dit en substance qu’une femme ne peut être interdite d’usage d’un bassin « en raison de son choix de maillot ». Pour Piolle, refuser l’entrée à une nageuse en burkini est constitutif d’ « une discrimination dans l’accès d’un service public qui cible une communauté religieuse, les musulmans, et les femmes comme toujours avec des interdits vestimentaires ». Pour l’élu grenoblois, ce problème de maillot, « ce n’est pas une question de laïcité ». Néanmoins, une partie de la gauche locale – à l’union apparemment fragile- semble décidé à s’opposer à la mesure.

Piolle a raison sur un point : le burkini n’est pas une question de laïcité. Pas plus que ne l’est le voile islamique, intégral ou pas. Mais ce n’est pas non plus, contrairement à ce qu’il avance, une question anodine d’habillement, comparable au choix des femmes de se baigner seins nus. Ce n’est pas une question de laïcité car la religion n’est pas ici le problème : le burkini est le signe distinctif d’une idéologie totalitaire, régressive, violente, sexiste, judéophobe. Celle-ci entend faire comprendre son désir de séparatisme et de conquête par le refus visible de partager une même civilisation. Et cette idéologie trouve dans l’extrême gauche, qui partage avec l’islam radical le rejet de la démocratie libérale, un utile collaborateur. Les Verts qui acceptent de jouer les idiots utiles de l’islamisme sont aussi méprisables que ceux qui, durant l’Occupation, cherchaient les bonnes grâces des nazis. En Iran ou en Afghanistan, ce sont des musulmanes qui manifestent contre le port du voile ou de la burka, imposé par les nazislamistes. Elles sont les premières à dire que ces accoutrements rappellent l’infériorité de leur condition dans la culture islamiste, qui puise dans le Coran l’argumentaire sur la domination machiste. Accepter le burkini, c’est porter atteinte à l’ordre public et à la paix sociale. C’est pourquoi il doit être interdit.

Voir en ligne : https://blogrioufol.com/burkini-les...