Aux gendarmes casqués en robots maléfiques,
Affrontant le peuple qui se veut pacifique
Aux ordres d’un ministre qui veut la castagne,
Je dis mon mépris qui toujours les accompagne.

Le peuple est muselé en vertu d’un pantin
Qui lance des débats pour son propre festin :
Il voulait se grandir, il s’est rapetissé
D’un petit air malin et toujours compassé.*

On connaît bien de lui ses imbéciles frasques
Qui cependant ont pu faire tomber le masque…
Faudrait-il les citer quand chacun les connaît
Et qu’il pousse encore plus loin son cochonnet ?

Le peuple en a assez, il le crie sans ambages,
Mais Macron s’accroche toujours au bastingage :
Le bateau coulera inéluctablement
Et la France par lui endure ses tourments.

Mais il n’a pas trouvé la porte de sortie…
Qu’on le jette à la fin dans un grand champ d’orties !
Les piquants, c’est certain, sans cesse l’émoustillent,
Il aime ça, Macron, héros de la broutille. (16/02/2019)

* le con ne l’est jamais, "passé" !