Il y a un proverbe chinois dont nous ferions bien de nous inspirer : « quand les riches maigrissent, les pauvres meurent ». Et un autre, tiré des « Plaideurs, de Racine : « tel qui rit vendredi dimanche pleurera ».
L’abolition de la peine de mort n’a pas seulement bouleversé le corpus législatif, placé le malfaiteur au centre des préoccupations de la « justice », invisibilisé la victime, elle a provoqué des métastases mortelles dans toute la société. Puisque l’on a panthéonisé Robert Badinter, autant l’accompagner de Patrick Henri, le premier assassin d’enfant à avoir échappé à la guillotine, un autre symbole !
C’est entendu, un président de la République n’est pas un être normal comme vous et moi, à part peut-être Hollande, et on a vu ce que cela a donné. Mais avec Macron, on n’est pas loin de la camisole de force, et, horreur malheur, c’est lui qui détient toutes les manettes.
Au stade où il en est, la prochaine fois qu’il se repentira devant l’Algérie, Macron se présentera à genoux, tondu, la corde au cou, en robe de bure et les pieds nus.