On ne peux pas nier que le racisme existe en France. Faites un tour dans les cités, vous comprendrez.

De plus, que penser de phrases telles que :
"Nous admettons le droit et même le devoir des races supérieures d’attirer à elles celles qui ne sont pas parvenues au même degré de culture".
"Si nous donnions l’égalité des droits aux peuples coloniaux, nous serions la colonie de nos colonies".
"Quelle terre que cette Afrique ! l’Asie a son histoire, l’Amérique a son histoire, l’Australie elle-même a son histoire ; l’Afrique n’a pas d’histoire. Une sorte de légende vaste et obscure l’enveloppe...au XIXème siècle le Blanc a fait du Noir un homme ; au XXème siècle l’Europe fera de l’Afrique un monde".(Ça ne vous rappelle rien ? l’Afrique n’a pas d’histoire, c’est du plagiat M. Nicolas !)

Il faudrait lancer une pétition pour que les responsables politiques auteurs de ces horreurs, soient définitivement bannis et exclus des ors et honneurs de la République. Nos enfants ne doivent plus souffrir de devoir se rendre à l’école Jules Ferry en empruntant l’avenue Gambetta qui traverse le square Léon Blum, coupe le boulevard Clémenceau et aboutit à la bibliothèque Édouard Herriot.

Car oui, ce sont ces phares de l’Humanité qui ont proféré ces phrases d’une rare violence raciste :
la première est de Léon Blum, Chambre des députés, 9 juillet 1925.
La deuxième est de Edouard Herriot, tribune de l’Assemblée, 27 août 1946.
La troisième est de Victor Hugo, 18 mai 1879, à l’issue d’un banquet commémoratif de l’abolition de l’esclavage. Sans rire ! Il avait sans doute un peu trop arrosé la gueuse.

Je vous ai fait grâce des joyeusetés de Jules Ferry ou des horreurs dites par Ibn Khaldoun, Vous trouverez toutes ces citations dans le livre God bless Africa de Bernard Lugan, lequel, je l’espère, ne m’en voudra pas de le citer librement.