Depuis le début des années 1990 en ce qui concerne l’assurance maladie, et à partir du milieu des années 2000 pour les autres compartiments de notre système de protection sociale, les recettes courantes (cotisations et impôts) ne couvrent plus intégralement des dépenses, entraînant de fait un recours à l’emprunt pour assurer le fonctionnement effectif quotidien de la sécurité sociale. La Cour des comptes, le FMI, la Commission de Bruxelles, la Banque de France et le bon sens le répètent : ce n’est pas (...)
Rubrique : Articles
- Mots-clés : Syndicats et Social