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ORAN 5 JUILLET 1962 - DERNIER TEMOIGNAGE

, par  popodoran , popularité : 4%
Cet article provient d'une source externe à NJ sans autorisation mais à titre d'information.

Par Jean François PAYA

 Selon le témoignages récents d’un ex secrétaires de Katibas l’état-major ALN du Maroc obnubilé par les enclaves Espagnoles de Ceuta et Melilla pu s’assurer que les Forces Françaises (FAF) n’interviendraient pas en cas de désordres à Oran (prémonitoires)où il était facile de créer des incidents avec prétextes "Tirs sur le défilé petits scouts musulmans" et " résidus OAS ! (pas de noms ensuite de ces "chouadas" (ni une plaque sur les murs d’Oran) voir nos enquêtes sur le site suivant Oran, juillet 1962

 Pour l’OAS d’Oran signaler que le départ de certains de ses "Commandos" fut négocié "en rapports de Force" Incendie du port par tirs au bazooka (Témoignages reçus) par la base maritime d’Arzew avec le commandement des FAF Français et Maritimes sous conditions d’aucune représailles et défense de la population civile Française (les FAF en accord avec autorités FLN trop contentes de voir partir ces perturbateurs. Parjure de tous ces interlocuteurs maudits.
Le vendredi 20 SEPT 2017 - JF PAYA à la base de Mers-El-Kébir fin 1964.

 L’ordre du jour du 5 Juillet 62 de L’ALN d’Oujda prévoyant de manière prémonitoire sa vocation de maintenir l’ordre et sa condamnation du GPRA (texte intégral volume 3 Agonie d Oran) comme le signale JF Paya le départ des éléments OAS organisés fut négocié avant l’appel du colonel Dufour pour l’arrêt des combats avec décision de ne pas se livrer à un "baroud d’honneur" pour justement éviter des représailles sur la population.

 Condition de l’autorité militaire Française qui avançait la directive 99 du 20 juin 62 du Général Katz à ces unités qui prévoyait l’intervention en cas d’agressions de nos ressortissants après l’indépendance dans la période de transition vers un pouvoir Algérien élu prévu par les accords d’Évian, document reproduit dans le livre de J Katz « l’honneur d’un général » puis document du groupe FLN de l’exécutif provisoire en date du 27 juin 62 qui indique que faute de directives « le protocole de maintien de l’ordre » ne fut pas signé, d’où risques d’interventions de l’Armée française après le 2 Juillet en cas de débordements (archives du FLN de M Harbi).

 Rétrospectivement il semble que le GPRA ne souhaitait pas livrer ce maintien de l’ordre à l’ALN surtout extérieure dont il venait de limoger l’État-major.

 On sait comment ces directives furent bafouées avec les engagements de défendre nos ressortissants par des directives supérieures la veille du 5 juillet 62 (Paris n’est pas au courant) ce qui reste à démontrer mais a notre avis un individu comme Katz n’aurait pas sollicité des directives (surprenant) et sans celles-ci justement avait un prétexte en or pour prendre des initiatives courageuses mais il ne le put car visiblement il avait des directives du plus haut niveau même selon nous pour accepter de servir de bouc émissaire et ça à réussit.

  LE PROBLÈME EST QUE SI LE MASSACRE D’ORAN NE FUT QU’UNE RÉACTION SPONTANÉE NON PRÉMÉDITÉ D’UNE FOULE (COMME L’AVANCE CERTAINS AUTEURS CE NE FUT NI UN CRIME DE GUERRE ET ENCORE MOINS UN CRIME CONTRE L’HUMANITÉ SANS RESPONSABILITÉ) VOIR LE DÉMENTI DE CETTE ÉNORMITÉ CI-DESSOUS.

Par le Groupe de recherches Oran 5 Juillet 1962 direction JF PAYA /AC Algérie classe 54/2 en archives au CDHA (centre documentation historique sur l’Algérie).

 « L’armée restera pour vous protéger » les semaines précédentes. Le pouvoir central Français est directement impliqué, Katz ne faisant que se parjurer en exécutant des "directives supérieures de non intervention" en contradiction avec celles sur la légitime défense du commandant FAF d’Alger (cité par le général Faivre) qui cependant ne le blâma pas ! pour il est vrai des "incidents" très minimisés (rapport officiel de Katz)tandis que le GPRA subjugué dans un communiqué du 6 stigmatise des prétendus résidus de l’OAS (dénié par le FLN/ALN à Oran le 6 juillet).
  Mais à postériori il est plus facile d’écrire l’histoire sur le moment dans la confusion car personne ne savait ce qui pouvait se passer. Pour De Gaulle en priorité la conservation des bases d’essais du sud et de Mers El Kébir devait être assurée. En même temps cette dernière ne devait pas générer une zone de replis ni une enclave Française donc la nécessité de faire partir un maximum d’habitants Européens de la région (pour l’ALN) sans pour autant provoquer l’intervention de l’Armée Française (donc assurance de son gel) remplacée par celle de l’ALN du Maroc après en avoir créé les conditions comme la carence de la Force Locale et l’utilisation et l’exacerbation des sentiments de vengeance pour créer l’émeute RENDUE SURTOUT POSSIBLE PAR LA PARALYSIE VOULUE DES 18000 hommes de L ’ARMÉE FRANÇAISE J’AI ÉCRIT CECI IL Y A 20 ANS avec la confusion de juillet 1962.

 Ce n’est pas gagné pour Ben BELLA / BOUMÉDIÈNE. L’ALN d’Oujda est prête a tout pour jouer les "pompiers pyromanes" comme à Oran en provoquant le désordre pour prouver l’incapacité du GPRA à diriger le pays !

Jean François PAYA

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