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Mai 1961-juin 1962 : vécu par les habitants d’Oran

, par  MORA , popularité : 2%
Cet article provient d'une édition antérieure de NJ.

... vu sur le NET ...

Les derniers mois de l’Algérie française ont été marqués à Oran par une explosion de violences sans précédents, assassinats par arme à feu ou arme blanche, lynchages, destructions par plasticage ou incendie. Ce fut le règne de la haine et de la peur, enfin le « sauve-qui-peut » des pieds-noirs qui, entre avril et août 1962, gagnèrent en masse la métropole.

Pendant les premières années du conflit, la ville était demeurée parfaitement calme. Ses habitants avaient quelques raisons d’être optimistes : la population y était en majorité « européenne », et Oran avait une telle importance stratégique du fait de sa proximité avec la base navale de Mers-El-Kébir que les Oranais pensaient qu’aucun gouvernement français n’accepterait de s’en séparer : dans l’hypothèse d’une Algérie indépendante, la France conserverait une enclave incluant Oran et Mers-El-Kébir.

Le passage du calme aux violences s’est effectué en février 1961, vraisemblablement sur décision du FLN* qui avait réussi à infiltrer la population arabe de la ville. Ce terrorisme urbain visant les Européens fut rapidement suivi du contre-terrorisme de l’OAS** qui venait d’être créée, contre-terrorisme s’en prenant notamment aux Arabes travaillant dans la ville européenne.

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