Depuis 1962, l’écriture officielle de l’histoire algérienne s’est appuyée sur un triple postulat : Celui de l’arabité du pays nie sa composante berbère ou la relègue à un rang subalterne, coupant de ce fait, l’arbre algérien de ses racines. Celui d’une Algérie préexistant à sa création par la France à (...)