
Il aime la vie pour des choses simples qu’elle lui offre. Tout enfant déjà il les sentait, avec un instinct animal. La pluie, le vent, les saisons, les odeurs, les lumières agissaient sur sa chair même.
Il aime la vie, la respecte, car il comprend qu’elle est unique, précieuse. Elle est fragile aussi, très fragile en Algérie.
Jean-Pascal a dix ans en 1949. L’école, son village, le Lycée lui montrent le chemin.
Sa famille vit tragiquement la Toussaint 1954.
Il aime Mamika, la jeune mauresque, d’un amour sans pareil. Mais un destin inexorable, supérieur aux êtres et aux choses, conduit leurs pas, dépositaire lui aussi des secrets douloureux que nous cachent les dieux.
Liens :
* Jean-Paul Taddéi : * Quarante ans après , * est revenu à Oran et dans son village natal de Renan où il a situé l’action de son roman : il nous raconte cette odyssée dans une nouvelle inédite pleine d’émotion : "@@b@@Qui sourit et pardonne" @@/b@@ (cf. "Documents joints" ci-dessous).
