Macron ! Jette un œil depuis ta haute fenêtre :
Tu sauras peut-être ce qu’il en coûte d’être
Celui de ce peuple laissé à l’abandon
Et auquel jamais tu n’as demandé pardon !
Le pouvoir t’est monté bien trop vite à la tête,
Et, tranquille, tu peux dormir sous ta couette :
Les bruits de la rue te parviennent, étouffés,
Les forces de l’ordre les ont bien camouflés.
Le peuple est écrasé de tes billevesées,
Les taxes et impôts auront tout embrasé
De juste colère que tu pouvais prévoir…
Mais te voilà bien loin de tes derniers devoirs.
Et voici que j’apprends que tu viens de nommer
A de hautes fonctions et d’islam renommé
Un certain Belattar* en second Benalla…
Bigre ! Petit Macron ! Jusqu’où vas-tu par là ?
Tu as mis le pays dans le pourrissement :
Tu rendras compte de cet avilissement
Dans lequel le pays est désormais plongé…
On laissera ta peau à des chiens enragés. (8/12/2018)
* nommé membre du Conseil Présidentiel des Villes