La « rue arabe » française pèse sur la politique d’Emmanuel Macron. Un an après le pogrom du 7 octobre mené par le Hamas et des milliers de gazaouis contre Israël (plus de 1200 morts, près de 250 otages), le chef de l’Etat redoute de déplaire aux banlieues islamisées. Un mélenchonisme d’atmosphère est (...)