Ils sont ainsi désormais une majorité (53%) à anticiper une dégradation de leur pouvoir d’achat au cours des trois prochains mois, une hausse de sept points en un mois et de 17 points depuis mai, selon cette enquête réalisée pour BPCE, Les Echos et France Info.
Les inquiétudes progressent en particulier pour deux postes de dépenses, la fiscalité, citée par 37% des personnes interrogées, et le prix du gaz, par 25% (+6).
L’alimentation figure toujours en tête des dépenses les plus préoccupantes, citée par 45% des personnes interrogées (+4).
L’essence, qui reste à un prix élevé malgré la baisse des taxes décidée fin août, demeure une préoccupation majeure pour 41% des Français (+1).