Ce jour-là je me suis réveillé de bonne heure pour voir la vieille tia préparer des cocas à la frita pour la kémia de midi.
Vinga qu’elle se mélangeait la farine ac’ un verre d’eau tiède salée et un poquico de l’huile des olives, bien vert foncé. Elle s’est laissé la pâte trop fatiguée d’être pétrie se (...)