Avez-vous pris votre abonnement 2024 ? Non ! CLIQUEZ ICI !
Ou alors participez avec un DON


Découvrez des pages au hasard de l’Encyclo ou de Docu PN
A compter du 25 mai 2018, les instructions européennes sur la vie privée et le caractère personnel de vos données s’appliquent. En savoir +..

la reine d’Angleterre neutralise le parlement pour aider Boris à réaliser le Brexit

, par  NJ_Publication , popularité : 5%
NJ-Ile de France
Ceci marque (enfin) le début de la fin des bobos et des progressistes !

L’article provient de Dreuz.info pour l’essentiel.

Le 28 août, elle a agi dans l’intérêt de la majorité de la population britannique. Elle a approuvé la demande du Premier ministre Boris Johnson de suspendre le parlement du début septembre à la mi-octobre.

Cette décision ouvre la voie à la poursuite de Johnson sur le Brexit.

Le peuple britannique a voté pour quitter l’Union européenne en juin 2016, mais comme ailleurs dans le monde occidental, les élites, qui ont réussi à faire oublier que le pouvoir vient du peuple et est destiné à servir le peuple, ont décidé que la populace ne sait pas ce qui est bien pour elle, et qu’il fallait prendre l’initiative, et contrecarrer sa volonté. C’est ce que le parlement britannique a fait au cours des trois dernières années – notamment en choisissant Theresa May, une Première ministre anti-Brexit qui a parfaitement rempli son rôle. Et le parlement a pendant ces trois ans rejeté trois fois un accord avec l’UE.

.../...

La décision de la Reine signifie que les députés antidémocratiques qui ont bloqué le Brexit pourraient ne pas siéger entre le 9 septembre et le 14 octobre, et n’auront probablement pas assez de temps pour arrêter un Brexit « sans accord » – ou même pour appeler à nouveau une motion de « non-confiance » dans le Premier ministre.

Si cela se produit, la Grande-Bretagne part de l’UE sans accord le 31 octobre.

.../...

L’intervention de la reine rapproche Brexit de la réalité le 31 octobre. Bien sûr, vous lirez tout l’inverse dans les journaux. Vous n’entendrez parler que des plaintes, des critiques, et surtout, des tables rondes d’experts britanniques de premier plan (personne ne vous dira que ce sont des experts anti-Brexit) qui expliqueront quel calvaire la Grande-Bretagne va traverser.
Conclusion

Rien ne permet de dire à ce stade si Johnson a toutes les cartes en main pour mener à bien son Brexit, mais Elizabeth lui a offert un énorme Joker pour le cas où le Parlement tenterait d’obtenir un vote de défiance à son égard, comme Corbyn, le dirigeant antisémite du parti travailliste, vient de le faire.

Autre point encourageant : je doute que Sa Majesté ait pris le risque de cette décision si elle pensait que Boris et le Parti conservateur ne sont pas capables de livrer le Brexit.

Je n’aimerais pas être journaliste dans les grands médias ces temps-ci, entre les succès de Trump et la saine montée du populisme, ils vivent l’enfer.

Voir en ligne : Source