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Bloc-notes : Le réveil des peuples affole les mondialistes

, par  Ivan Rioufol , popularité : 7%
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« Bloc-notes : Le réveil des peuples affole les mondialistes »

Comment faire taire des peuples récalcitrants ? Par la culpabilisation et la peur. Et par la brutalité s’il le faut. Parce qu’ils avaient honte de se dire trumpistes, des sondés américains ont laissé croire, par leur silence, en une vague démocrate qui n’a pas eu lieu le 3 novembre. Terrorisés par l’alarmisme de l’État sur le Covid-19, les "Gaulois réfractaires" ont accepté, jusqu’à présent, l’ordre sanitaire et son état d’urgence, reconduit par les députés jusqu’au 1 er avril 2021. Or, dans les deux cas, les libertés ne prennent que des gnons. Il en sera ainsi tant qu’une oligarchie voudra tenir à distance une population suspectée d’être perméable aux vents protestataires. Aux États-Unis, l’establishment, ébranlé par la résistance imprévue de Donald Trump, a retrouvé son assise : sans attendre l’élection officielle de Joe Biden par les 538 grands électeurs le 14 décembre, les médias ont intronisé leur candidat, samedi. Mais ce passage en force dissimule une fébrilité.

L’accusation en "complotisme" est le même argument qui ressort, de part et d’autre de l’Atlantique, contre ceux qui critiquent les mauvaises manières des dirigeants convertis au mondialisme et à son aversion des gens enracinés. La plupart des grands médias se sont déshonorés durant quatre ans en torpillant le président américain, vu comme un clown. Ces jours-ci, les redresseurs de torts prennent des airs de vierge insultée à l’idée de possibles fraudes dans des votes Biden.Trump doit bien sûr prouver ses accusations. Elles sont jugées scandaleuses par ceux qui l’accusent de mentir sur tout. Cependant, ce sont les salles de rédaction qui ont aussi désinformé sur sa politique. Des télévisions américaines ont même choisi dernièrement de censurer Trump puis sa porte-parole, au prétexte que leurs propos étaient critiquables. La victoire du pouvoir médiatique, juge et partie, est celle de l’intimidation.

Le Système, cette fabrique de consentements obligés, ne peut être laissé à ses excès despotiques : ils mettent en péril la démocratie.

Liberté d’expression par Ivan Rioufol

Voir en ligne : https://blog.lefigaro.fr/rioufol/20...