Pour lutter contre l’immigration invasive (et en finir une bonne fois pour toutes), 15 pays, donc plus de la moitié des 27 membres qui composent l’Union européenne : Danemark, Bulgarie, République Tchèque, Estonie, Grèce, Italie, Chypre, Lettonie, Lituanie, Malte, Pays-Bas, Autriche, Pologne, Roumanie, Finlande, auxquels bien entendu il faut ajouter la Hongrie et, si les électeurs français et espagnols décident enfin de se mobiliser, également la France et l’Espagne, souhaitent que l’immigration illégale, clandestine mais également les « demandes d’asile » rejetées soient « interdites d’entrée dans l’Europe ».
*Que ces millions de migrants attendent la fin de la procédure, qui leur permettrait de pénétrer dans l’Union européenne, dans des pays « partenaires » hors de l’UE.
*Que les migrants secourus en mer soient reconduits vers les ports de départ ou vers des « pays tiers sûrs ». Bien entendu ce projet est contesté par les ONG et les associations et organisations « pro-migrants ».
Mais, que cela plaise ou non aux « fonctionnaires » non élus de l’Union européenne, « il est devenu une priorité après les élections européennes du 9 juin 2024 ».
Qu’il me soit permis de rappeler ces statistiques concernant les entrées de migrants en Europe : près de 9 millions depuis 2010 (Source : Eurostat et Européan Union Agency).
2010 : 259.635
2011 : 309.045
2012 : 335.290
2013 : 431.100
2014 : 626.965
2015 : 1.322.850
2016 : 1.260.920
2017 : 712.250
2018 : 664.410
2019 : 744.810
2020 : 472.660
2021 : 634.405
2022 : 962.160
2023 : 1.140.000 (au moins)
Les chiffres de 2024 ne sont pas encore connus (officiellement) mais quand on apprend que, depuis le début de l’année, plus de 60.000 ont débarqué aux îles Canaries et arrivent jusqu’en Europe (et notamment les plus nombreux en France) en traversant l’Espagne… on ne peut qu’espérer que cette majorité de pays membres de l’UE parvienne à imposer ses décisions, ne serait-ce que pour « sauver » ces milliers de malheureux qui périssent en mer et pour éliminer toutes ces « mafias » de passeurs qui s’enrichissent sur leurs corps et, bien évidemment « pour sauver l’Europe » !
Si cela ne se réalise pas, nous aurons une Europe en partie « métissée » dès 2050.