La tentative de destruction de Donald Trump se poursuit. Si Donald Trump perdait l’élection du 3 novembre, les criminels auraient gagné. (Je pense que ce ne sera pas le cas et j’y reviendrai)
Il n’y a jamais eu dans l’histoire américaine quoi que ce soit qui ressemble à ce qui se passe depuis plus de quatre ans. Il en est ainsi parce qu’il n’y avait pas eu jusque-là un parti totalitaire aux Etats-Unis, et la réalité est là : le Parti Démocrate n’est pas seulement un parti totalement corrompu et composé d’infectes crapules. Et c’est désormais un parti totalitaire. J’explique aussi cela dans “Après Trump ?”.
Le totalitarisme que porte le Parti Démocrate n’est pas un totalitarisme à l’ancienne, façon Union Soviétique, non. Ce n’est pas non plus pleinement un totalitarisme façon Chine communiste, bien que cela y ressemble de plus en plus. C’est un totalitarisme soft. La façon dont ce totalitarisme a avancé a été décrite dans un livre de l’essayiste Roger Kimball, “The Long March”, que je cite dans “Après Trump ?”.
Il a, selon les méthodes définies par Antonio Gramsci, puis Saul Alinsky, reposé sur l’infiltration des secteurs clé de la société américaine : l’université, puis le reste du système scolaire, le secteur culturel, les médias, le secteur entrepreneurial, puis le secteur politique.
Aujourd’hui, quasiment toutes les universités américaines sont tenues par des gens venus de ce qu’on appelait aux Etats-Unis dans les années 1960 la “nouvelle gauche”. Ces gens tiennent aussi l’essentiel des lycées. Ils se sont emparés du cinéma, des maisons d’éditions, de la télévision, du journalisme, de la direction de la majorité des grandes entreprises du pays. Ils tiennent les principales entreprises du secteur de la communication électronique, Apple, Google, Twitter, Amazon, Facebook. Ils tiennent le Parti Démocrate.