J’ai titré un article la semaine dernière : « Jamais la France n’a subi autant d’humiliation que durant les deux quinquennats du Président Macron ! », et une de plus a ajouté à l’actif de ce président.

La France est le seul pays au monde qui rend des hommages nationaux à des personnages qui ont été les complices de ceux qui ont massacrés, assassinés, des milliers de Français, en Algérie et en France métropolitaine. Des traitres qui ont financés nos ennemis, qui les ont armés. Jamais notre pays n’a été autant trahi, humilié, par ceux qui le gouvernent et que « vous avez élus, hélas ! ».

Il y a eu « l’affaire Maurice Audin », ce traître honoré par la France de Macron, et nous allons avoir « l’affaire Gisèle Halimi », cette avocate née à La Goulette, en Tunisie, qui se considérait comme « judéo-musulmane » qui s’est fait connaître en prenant la défense de Djamila Boupacha, poseuse de bombes du FLN et condamnée à mort avant d’être libérée, comme des dizaines d’autres « à l’occasion de la signature des « Accords d’Evian » le 19 mars 1962 ». L’une des premières à signer « le manifeste des 121 », tous complices des ennemis de la France.

Comme des dizaines d’autres, par exemple « Les porteurs de Valises », ces traitres paraît-il Français, qui armaient et finançaient le FLN et l’ALN, ceux qui assassinaient nos enfants, vos enfants, des milliers d’innocents. Ces complices des tueurs que l’avocate Gisèle Halimi défendait, tout comme Jacques Vergès et Roland Dumas (considérés dans un rapport de la Sureté Nationale « Comme auxiliaires de ceux qui luttent contre la France », sans se soucier des victimes et soutenus par certains médias « Le Monde », L’Express », « France Observateur », « Témoignage Chrétien ». Ce serait trop long de tous les citer mais les plus connus, les plus « pourris », Henri Curiel, Francis et Claudette Jeanson, Jean-Paul Sartre, Jacques Charby, Paul Crauchet, Serge Reggiani, Catherine Sauvage, Roger Pigaut, Georgina Dufoix, Paul-Marie de la Gorce, Michel Rocard, Hervé Bourges, Gérard Carreyrou, Françoise Sagan, Henri Alleg, Georges Suffert, François Maspéro, Arlette Denzler, Alain Krivine, Bernard Kouchner, etc. Tous ces « salauds » ont obtenus « l’indulgence de la France » de De Gaulle, pas la « Nôtre ».

Entre 1954 et 1963 « ils » ont offert au FLN environ 500 millions de Francs.

Gisèle Halimi était mariée à Claude Faux, secrétaire de Jean-Paul Sartre. Vous vous souvenez : celui qui a écrit « Il faut tuer : Abattre un Européen c’est faire d’une pierre deux coups, supprimer en même temps un oppresseur et un opprimé : reste un homme mort et un homme libre »

Demain on proposera que cet ignoble personnage et l’avocate qui défendait tous ces traitres, Gisèle Halimi, « reposent » au Panthéon. Quelle honte pour ceux qui y « demeurent » actuellement.

J’aimerais connaître la réaction de cette gauche française, communiste et plus, si l’on décidait un jour prochain de « rendre un hommage national » à ceux qui se sont battus pour défendre « la France » aussi bien en Algérie qu’en Métropole : Pqar exemple le général Raoul Salan, Georges Bideault (qui a succédé à Jean Moulins au Conseil National de la Résistance) et quelques autres « Héros » de la « Vraie France ?