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Tous les pays musulmans souhaitent la solution finale : l’éradication d’Israël

, par  Manuel Gomez , popularité : 1%
Cet article provient d'une source externe à NJ sans autorisation mais à titre d'information.
Article du 6 novembre 2023

Il y a des années que je le crie, que je j’écris et j’espère que l’on finira par le comprendre : « Il n’y a pas de guerre coloniale dans les territoires envahis par les musulmans arabes. Ce ne sont que des guerres de religion ». Et cela depuis des siècles et des siècles. Et les preuves sont sous nos yeux mais encore faut-il les voir.

Dans tous les territoires envahis par les Arabes depuis des siècles, l’objectif premier fut d’éradiquer les autres religions pratiquées avant leur arrivée « Afin que seule ne subsistent que la religion musulmane, ses lois, ses directives, sa « charia ».

Citez-moi un seul pays où une religion autre que la musulmane ait pu survivre, après qu’il a été envahi ? Aucun.

Tôt ou tard les « musulmans » s’imposent soit le plus souvent par la force et les massacres (le Jihad), soit par la dissimulation (la taqîya).

Puisqu’il s’agit actuellement, hélas, des « juifs » et que l’actualité est braquée sur l’effroyable massacre du 7 octobre en Israël, il faut que cela se sache : tous les pays arabo-musulmans du monde souhaitent la disparition totale d’Israël : la solution finale.

Mais depuis des siècles « Ils » réussissent à les « éliminer », d’une manière ou d’une autre, des pays qu’ils envahissent. Exemples : le Maghreb.

Tunisie : plus de 100 000 juifs avant 1956 (fin du protectorat français) 1200 environ en 2023 et, demain, plus aucun.

Algérie : environ 20 000 en 1830, 150 000 en 1962, 0 en 2023.

Maroc : 200 000 en 1949, 18 000 en 1977 et environ 3000 en 2023.

Environ 27 000 juifs dans l’ensemble de tous les pays musulmans sur une population mondiale d’environ 16 millions.

En ce qui concerne la France, les exemples ne manquent pas : où sont les juifs dans certaines banlieues de la région parisienne (Sarcelles, Saint-Denis, etc.) ? Il n’y en a pratiquement plus. Seuls restent ceux qui ne peuvent aller nulle part.

Cela en ce qui concerne les juifs, mais les « chrétiens » ? La solution finale est exactement la même pour eux dans tous les pays musulmans : ils ont été, et continuent à être exterminés.

Cela n’a pas été le cas en Algérie parce que les juifs et les chrétiens sont partis en 1962 avant de l’être.

J’ai eu l’occasion de rencontrer chaque semaine, dans les années 1946/1952, Ferhat Abbas, l’un des principaux leaders du FLN (il tirait son journal « Égalité » sur les presses du quotidien « Alger-Républicain », rue Koecklin à l’entrée de Bab-el-Oued. Il m’expliquait qu’il luttait pour une Algérie indépendante, mais associée à la France avec la participation de « tous les Européens du pays » mais qu’il était minoritaire car le « but » recherché était « le départ total des tous les chrétiens, juifs, etc. et leur élimination avait commencé dès avant le 19 mars et jusqu’en juillet 62 ».

Il ne devait rester, dans une Algérie indépendante, que des musulmans arabes « et il ne reste qu’eux ».

La guerre contre la colonisation n’a été que « la banderole publicitaire » masquant une guerre de religion ».

Cet envahissement actuel de l’Europe, organisé depuis quelques décennies par les islamistes, employant une stratégie à deux visages : attentats, crimes, agressions, etc. afin de semer la peur et, surtout, infiltration, dissimulation, coopération, participation et discours apaisants (Presse, TV et réseaux) : la taqîya.

De nombreux pays européens paraissent avoir mieux compris ce danger que la France, c’est le cas notamment et récemment même de l’Allemagne, pourtant largement ouverte aux « migrants » il y a encore quelques mois.

La France doit prendre des mesures radicales afin de tenter d’échapper au danger qui la menace et l’une de ces mesures doit impérativement être la déchéance de nationalité et l’expulsion de tous ces « Français de papiers » dès le premier délit grave.

Je suis moi-même un binational franco-espagnol et je comprendrais parfaitement que l’on me retire la nationalité, que ce soit en France ou en Espagne, si je commettais un délit grave.

La déchéance de nationalité, afin de procéder à l’expulsion, doit être inscrite dans la Constitution et appliquée notamment à tous ces djihadistes qui ont été libérés de prison, où le seront prochainement.

Voir en ligne : http://magoturf.over-blog.com/2023/...