par André Bercoff
La canicule n’est plus seulement atmosphérique : elle devient, de plus en plus, cosa mentale. Tout se passe comme si le confinement n’était plus physique mais intégré, intériorisé, appliqué dans les têtes. Cependant que l’on nous demande, que l’on exige, d’observer les gestes barrières, (...)