La « décolonisation » est à l’ordre du jour. La « repentance » est réclamée par tous ceux qui ont, selon eux, souffert de cette colonisation. Il me semble nécessaire d’établir, selon moi, un constat, non idéologique, sur ce sujet « à l’ordre du jour » depuis le début de cette dernière décennie, et donc de ses conséquences sur le devenir de notre civilisation.
La situation actuelle, imposée par l’ex-colonisée (Algérie) à l’ex-colonisateur (France), nous autorise à rétablir quelques vérités historiques.
Tout d’abord un « état des lieux » : l’Afrique est à feu et à sang, elle connaît le « djihad », les terroristes islamistes ont décidé d’y installer un « État islamique », un « califat », ce qu’ils n’ont pas réussi dans d’autres nations du Moyen-Orient et cela malgré l’aide, toujours très active, de la Turquie du dictateur Erdogan.
Des massacres et des enlèvements se produisent quotidiennement, dans une indifférence quasi générale. L’Afrique connaît les massacres, la famine, les épidémies, le manque d’eau potable, les catastrophes alimentaires, en deux mots la misère, et la responsabilité de cette situation, il ne faut pas la chercher ailleurs que dans « la décolonisation », que cela plaise ou non.
Quelques pays se sont mieux sortis, économiquement, de cette « décolonisation ». Par exemple les pays de l’Afrique du Nord (Algérie, Maroc, Tunisie), uniquement parce qu’ils ont eu la chance de « vivre » une « colonisation de peuplement ». Des pays où les « colons » venus de pays européens ont créé, fondé, bâti, fabriqué exploité (oui, exploité dans le bon sens du mot) et y ont apporté l’éducation et la santé : en deux mots « la civilisation » où elle n’existait pas.
Si tous les pays d’Afrique avaient eu cette même chance, ce continent ne serait pas aujourd’hui dans l’état déplorable dans lequel il se trouve et ce serait tout bénéfice pour lui comme pour nous.
À l’époque de l’esclavage, cette jeunesse africaine était « achetée » parce que l’on avait besoin de cette jeune main-d’œuvre et, aujourd’hui, ces mêmes jeunes paient pour fuir leur misère et tenter de pénétrer en Europe, risquant leurs vies pour rejoindre le « Paradis » qu’on leur promet.
À l’époque certains mouraient dans des conditions abominables durant le transport, aujourd’hui des milliers se retrouvent au fond de la Méditerranée et de l’océan Atlantique.
Et ce sont toujours les mêmes qui s’enrichissent : leurs chefs de tribus et les passeurs arabo-musulmans, aidés par les ONG internationales complices.
Et l’une des curiosités de cette « décolonisation », c’est que le pays qui a le plus bénéficié de la « colonisation de peuplement », l’Algérie, considère les « colonisateurs » comme des criminels et non comme des « bienfaiteurs » car, tout de même, c’est bien grâce à l’engagement, au courage, au labeur, de tous ces « colons », que ce pays a pu s’en tirer sans trop de dommages dès son indépendance et ce n’est certes pas à cause de ces « bâtisseurs » que l’Algérie a sombré progressivement dans l’état déplorable où elle se trouve actuellement !
Certes, tout n’était pas parfait dans la « colonisation » mais quand l’on constate les résultats produits par « l’indépendance », avouons que l’on peut se poser certaines questions !
Et la première de ces questions : est-ce que les Africains, est-ce que les Maghrébins, est-ce que les Algériens fuyaient leurs pays, en risquant quotidiennement leur existence, à l’époque de la colonisation ? Certes pas. Ils ne risquaient pas leur vie pour tenter d’atteindre les côtes de la France, de l’Espagne, de l’Italie, de la Grèce et même celles plus éloignées des îles Canaries. Ils restaient « chez eux ».
Ces migrants illégaux, qui nous envahissent, sont libres de décider, par exemple, de retourner vers leurs pays d’origine (même frappés d’une OQTF, ils refusent !) et ceux qui ont eu la chance, l’opportunité de profiter de notre expérience, de notre progrès, et qui, parfois même, ont fait fortune, ont réussi une carrière, parfois brillante, et cela dans des pays qu’ils accusent de tous les crimes et où ils se considèrent comme « marginalisés ». Pourquoi n’envisagent-ils que très rarement de retourner « chez eux » afin de faire bénéficier « leurs frères » de l’expérience acquise ?
Ce serait, me semble-t-il, bien plus raisonnable que de tenter de prendre le pouvoir dans ces pays où, apparemment, il ne fait pas bon « vivre ensemble », selon eux.
Mais qu’ils soient patients, dans quelques décennies ils seront de nouveau, en France, « comme dans leurs pays d’origine ».