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Pourquoi il faut voir le film Hold-Up

, par  Ivan Rioufol , popularité : 5%
Cet article provient d'une source externe à NJ sans autorisation mais à titre d'information.
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« Pourquoi il faut voir le film Hold-Up »
Parce que le clergé médiatique a lancé une fatwa contre Hold-Up, il faut regarder ce documentaire "citoyen". Il faut entendre son discours dissonant, ne serait-ce que pour protéger la liberté d’expression des censures qui s’exercent sur le film. Ce travail journalistique a des défauts, à commencer par sa longueur (2h46) et des légèretés dans l’interprétation totalitaire du projet mondialiste du "great reset" (grande réinitialisation). Votre serviteur est accusé au passage, avec Laurent Joffrin, d’avoir "enterré" un propos du professeur Luc Montagnié, prix Nobel de médecine en 2008. Le 17 avril 2020 (et non le 12 février comme il est noté), Montagnié avait soutenu devant nous, sur le plateau de CNews, que le virus SarsCoV-2 avait été fabriqué dans un laboratoire de Wu Han (Chine) à partir du virus du sida (VIH). Cette révélation avait été démentie par le monde scientifique. Je remarque que cette hypothèse d’un virus fabriqué est à nouveau évoquée par d’autres. Quoi qu’il en soit, ceux qui accusent Hold-Up de "complotisme" n’ont jamais dénoncé les mensonges d’Etat ni les propagandes médiatiques. Ces désinformations sont à la source de ce film, qui brise un consensus. Son réalisateur, Pierre Barnérias, explique avoir voulu "répondre à une carence d’information et ouvrir un débat". Le succès "underground" rencontré lui donne raison.

Hold-Up est le dénonciateur d’une pensée officielle hégémonique. Le grand tort de ce documentaire, aux yeux des gardes chiourmes de l’Ordre sanitaire, est de s’en prendre à la politique de la peur, installée par le gouvernement depuis le début de la pandémie. Nombreux sont les témoins de qualité qui, dans la première partie, dénoncent notamment l’acharnement du ministre de la Santé, Oliver Véran, à imposer ses certitudes en un domaine qui aurait mérité des concertations. Le professeur Didier Raoult, qui n’apparaît pas lui-même, est souvent cité en exemple. Est rappelé aussi le scandale de l’étude bidonnée du Lancet, qui avait démoli l’hydroxychloroquine avant que la prestigieuse revue ne reconnaisse sa faute. Reste la question, à ce jour sans réponse, de savoir qui a été à l’origine de cette "fake news" avalisée par les médias. Dans la seconde partie, l’évocation de manoeuvres visant à constituer un gouvernement mondial dans le but d’asservir le peuple "inutile" pêche par trop de facilités dans l’argumentation. En deux minutes, la sociologue Monique Pinçon-Charlot ébranle l’ouvrage quand elle parle d’un "holocauste" visant à "éliminer la plus pauvre de l’humanité, dont les riches n’ont plus besoin". Mais les citoyens sont assez grands pour exercer leur propre jugement. C’est bien cet esprit critique que le Système cherche à faire taire.

Liberté d’expression par Ivan Rioufol

Voir en ligne : https://blog.lefigaro.fr/rioufol/20...