Avez-vous pris votre abonnement 2024 ? Non ! CLIQUEZ ICI !
Ou alors participez avec un DON


Découvrez des pages au hasard de l’Encyclo ou de Docu PN
A compter du 25 mai 2018, les instructions européennes sur la vie privée et le caractère personnel de vos données s’appliquent. En savoir +..

Pas encore Etat Pied-Noir mais déjà DICTATURE !

, popularité : 3%
Cet article provient d'une source externe à NJ sans autorisation mais à titre d'information.
Utilisation du DROIT DE RÉPONSE sur une ckikaya

Je suis attaqué nominativement par certains « déséquilibrés » représentants le soi-disant Etat Pied-Noir. Cela ne me déplait pas, bien au contraire, ce qui me déplait c’est que ces « déséquilibrés » se dissimulent derrière des « pseudos » (Guillaume d’Ockham pour un blog « Marquis de Lafayette), ou des patronymes fantaisistes, comme Xavier-Yves Zlatov, dont le siège de son association « Africa-Moldavie » (sic) est situé, comme par hasard, X rue du FXXX (X4XX0) à XXXgères, au domicile même du chef autoproclamé de l’état pied-noir, Jacques Villard !

Je ne répondrai pas directement aux élucubrations issues d’un esprit dérangé mais plus simplement par une biographie transparente destinée aux quelques Français d’Algérie qui ne me connaitraient pas encore.

J’ai effectivement était engagé, à l’âge de 15 ans, directement par Albert Camus, comme journaliste sportif au quotidien « Alger-Républicain », un journal d’obédience communiste.

J’ai démissionné de ce journal en 1954, car il soutenait le courant indépendantiste algérien, et suis devenu responsable de rubrique au quotidien « La Dépêche d’Algérie ».

En désaccord total avec la politique envisagée par De Gaulle pour l’Algérie, j’ai dû quitter Alger au mois de juin 1958.

J’ai poursuivi ma carrière en métropole à la rédaction des quotidiens « L’Aurore » à Paris et « Le Méridional » à Marseille.

J’ai eu l’honneur de représenter M. Georges Bidault (ex-président du Conseil National de la Résistance, après la disparition de Jean Moulin) lors de la création officielle de l’OAS à Madrid, à Pâques 1961, auprès du général Salan, de Pierre Lagaillarde, du capitaine Ferrandi, etc.

Je suis cousin avec le docteur Jean-Claude Pérez, responsable des commandos « Delta » de l’OAS et, sur ses conseils et sur les ordres de Georges Bidault, en collaboration avec le capitaine Pierre Sergent, j’ai créé à Paris, dès 1961, le « Bulletin de liaison CNR/OAS ».

Condamné à mort par le SAC (Service Action Civique) au service de De Gaulle.

A titre de renseignement, je suis catalogué aux « renseignements généraux » comme « activiste notoire d’extrême-droite », ce qui est d’ailleurs aussi faux que celui de « communiste » que m’attribuent les « déséquilibrés » dont il est question.

Auteur de plusieurs livres : « Camus l’Algérois », « Il y a 50 ans c’était l’Algérie Française », « Ahmed Rafa, le premier général franco-algérien de l’armée française », « Un temps ce fut l’Algérie Française », « J’accuse De Gaulle », plus une quinzaine d’autres, je collabore depuis des années à des médias par des articles quotidiens : « Bd Voltaire », « Riposte Laïque », « Dreuz.Info », « Résistance Républicaine », « Notre Journal », etc.

Et mon blog : l’aurore.overblog.fr est à votre service également depuis des années.

Il ne s’agit pas, mais vous l’avez compris, de me justifier des accusations totalement extravagantes mais de rétablir un point de vérité connu de tous.

Pour conclure, il m’apparaît comme fort regrettable que l’on puisse proférer de telles inepties sans se préoccuper le moins du monde de la vérité. C’est une opération qui n’est pas digne de Français d’Algérie.

Force nous est de constater que « l’utopique Etat Pied-Noir » n’est donc qu’une dictature puisqu’il y est interdit toute opposition et toute liberté d’expression !

**

A présent je m’adresse directement à Jacques Villard, dictateur autoproclamé de l’état pied-noir : puisque dans vos textes vous prétendez que l’on peut poser toutes les questions au chef autoproclamé de l’état pied-noir, en voici deux auxquelles je souhaiterais avoir une réponse :

1/ Vous prétendez être menacé de mort par un groupuscule d’extrême-droite. Je suppose que vous avez déposé plainte et prouvé ces menaces – Question : pour quelles raisons graves l’extrême-droite vous menacerait-elle de mort ?

2/ Vous avez été, dites-vous, victime de deux attentats par le passé – Question : qui a organisé ces attentats contre votre personne, et pour quelles raisons ?

Une dernière précision svp : je souhaiterais savoir qui me menace de poursuites ? Guillaume d’Ockham, le marquis de Lafayette, Xavier-Yves Zlatov, le moldave de service ou Jacques Villard, le dictateur autoproclamé de l’Etat Pied-Noir ?

J’espère une réponse générale à tous les Français d’Algérie !

**Copie du message reçu du pseudo Etat Pied-Noir.

De : ETAT PIED-NOIR SERES

com

Envoyé : dimanche 9 septembre 2018 12:56
À : manuel.gomez2000 chez hotmail.fr

Monsieur,

Vous continuez vos insultes.

Je suis né à Saïda.

Il y a les Pieds-Noirs d’Alger-Centre et les autres ne le sont pas, c’est cela ?

Il y a les Européens de Paris et les gueux de Moldavie, c’est cela ?

Un officier a deux devoirs : Dieu et sa Patrie.

Je n’ai pas d’autres patrons. Vous voulez parler à mon patron

Alors allez dans une Église et confessez-vous ! Vous en avez besoin !

Vous passez votre temps à tirer sur les Pieds-Noirs qui vous achètent les "copie-coller" que sont vos livres.

En agissant tel que vous le faites, en employant la délation comme au pire temps de notre histoire, vous devenez le meilleur agent des gaullistes et de la sécurité algérienne. Ils savent désormais qui menacer et sur qui tirer. Ils ne s’en prive pas.Si nous avons un seul mort, vous en porterez la responsabilité.

Vous irez vous expliquer devant les victimes de vos amis de jeunesse, de ceux que vous vous gardez bien d’attaquer car ils pourraient vous jouer un mauvais tour, de ceux qui débarquent en masse en France tellement l’Algérie est devenue un paradis, de ceux qui tuent, une fois de plus, des innocents.

Vous êtes né à Bab el Oued, certes, mais vous oubliez de dire que vous avez vécu dans le luxe en tant qu’adolescent. Puis-je vous rappeler votre grand-père et vos courses de chevaux ? Puis-je vous rappeler comment vous avez incité des centaines de personnes au jeu et comment elles ont perdu de l’argent ?

Vous vous dites sioniste et pro-américain.

Vous oubliez que des membres de notre État sont juifs de confession et qu’ils ont fiers d’être avec nous, ensemble, dans le même combat. Non seulement vous les oubliez mais vous les insultez.

Vous apparteniez à qu’elle organisation sioniste ? Vous étiez dans quel régiment américain ? Vous avez fait quelle guerre ?

Je crois que vous n’avez qu’une seule patrie : l’argent

Nous vous avons parfaitement identifié.

Il y a une différence entre nous et entre autres. Nous ne crachons pas sur les tombes.

Où étiez-vous de 1958 à 1962 ?

Où étiez vous le 23 mars 1962 à Bab el Oued, le 26 mars 1962 Rue d’Isly à Alger ou le 5 juillet 1962 à Oran ?

Vous avez combattu les armes à la main en Algérie ou en fumant des joints rue Richelieu Drouot à Paris ?

C’était à l’époque où vous aviez les cheveux longs et les idées courtes, n’est-ce pas ?

Vous avez trouvé un marché.

Vous voulez détruire des gens et des idées.

Très sincèrement, déversez votre haine !

Vous en avez les moyens et le désir intense.

En lançant de fausses accusations, des gens vont se faire descendre par vos calomnies. vous en serez le seul responsable.

Comme dans le passé, si vous en avez conscience.

Non, vous n’êtes pas un disciple de Camus qui était un homme de Paix que les Pieds-Noirs ont maltraité d’ailleurs à moment donné.

A Alger Républicain, vous étiez employé par le PCA auquel vous apparteniez ou pas peu m’importe si vous les reniez maintenant

Vous étiez le compagnon de plume de Henri Maillot, Georges Rafini, Mohamed Belkacem, Abderahmane Benzine, Amar Khalouf, Abdelkader Benamara, Mourad Ait Saada, Abdelkader Choukhal. Son rédacteur en chef était Henri Alleg, jusqu’en 1965. C’est vrai ou pas ?

A Marseille et à Nice, vous faisiez, quoi ?

Vous pensez que les journaux dans lesquels vous avez travaillé ont aidé les Pieds-Noirs ? Vous avez aidé le Maire de Marseille à menacer nos compatriotes et le Maire de Nice à édifier la statue de de Gaulle qui est une véritable offense pour ses citoyens Pieds-Noirs ?

Quel est le Pied-Noir ou le militaire français qui va soutenir un journaliste d’Alger Républicain ?

Vous salissez les gens, pensant blanchir vos actions..

Ni les militaires qui se sont fait abattre pour que vous puissiez vivre libre de vous exprimer en France, ni les Pieds-Noirs ne se reconnaissent en vous.

Je suis un illustre inconnu, peut être pour vous, mais, vous, vous devenez illustre par votre bile noir.

Vous abusez vos lecteurs. Nous sommes dans le pays de Voltaire et nous n’avons pas l’envie de vous interrompre dans votre volonté de verser le venin. L’Histoire vous jugera.

Il n’y a qu’une seule façon de régler vos différents avec les uns et les autres, vous la connaissez. C’est de les affronter sur le terrain et non pas d’utiliser l’ombre des lâches.

Vous pouvez aussi venir donner une conférence devant vos contradicteurs.

Camus l’a fait, pas vous. Le courage était sa Patrie.

Vous vous nourrissez de la gloire des autres.

Monsieur, laissez nous tranquilles !

Nous ne sommes pas du même monde.

Mon ami René Attard, vous connaissez bien. Il était l’honneur de l’Aurore. Pas vous ! Que vous le vouliez ou non. Vous savez comment il en a été remercié, n’est-ce pas ?

Vous l’avez suivi aux côtés du Général Jouhaud ou de Jo Ortiz ? Vous n’en étiez pas.

Je ne vais pas faire parler les morts mais les vivants comme vous feraient bien de se taire.

Vous n’ignorez pas non plus ce que l’Etat Major de l’OAS pensait de vous.

Vous avez bien fait de prendre la poudre d’escampette avant que cela ne tourne mal.

Repassez vos billets de banque et laissez les patriotes se battre !

J’étais aux côtés du Lieutenant Alain Bougrenet de la Tocnay, frère de combat du Lieutenant Colonel Jean Bastien-Thyri.

Vous étiez où ?

Le Lieutenant Bougrenet de la Tocnay, l’un des Chefs militaires de France Résurrection, a été condamné à la même peine que son Colonel. Son seul regret était de ne pas avoir affronté ses assassins aux côtés de notre martyr de l’Algérie française dans ses derniers moments. Relisez la déclaration du Colonel Bastien-Thiry..

« […] remettant en question à la fois les fondements de la Ve République — qualifiée d’« État de fait » —, l’ensemble de la politique algérienne du général — qualifiée de « génocide » de la population européenne — et le pouvoir « tyrannique » du chef de l’État. C’était la légitimité tout entière de l’homme qu’il n’avait pu tuer physiquement que Bastien-Thiry prétendait anéantir moralement.

Vous avez été arrêté quand et condamné à quelle peine ?

Vous étiez dans quelle prison ?

Nous ne sommes pas les seuls Pieds-Noirs que vous attaquez. C’est votre façon de vous mettre en valeur.

A moment donné, il falloir rendre des comptes devant l’Eternel.

Là, vous ne pourrez plus mentir.

Je ne vous salue pas, Monsieur.

Les hommes et les femmes qui se battent au sein de l’Etat Pied-Noir ne sont pas vos compatriotes et ne le seront jamais.

On ne mélange pas les torchons et les serviettes.

Xavier Yves de Zlatov

Voir en ligne : http://magoturf.over-blog.com/2018/...