Et l’Académie soutient mordicus, une fois de plus, le « principe selon lequel doivent être exclues toute réforme, et même toute simplification de l’orthographe ». Des ajustements par rapport aux évolutions, certes, mais des simplifications, non.
" En effet, les rectifications proposées ne consistent en aucune manière à simplifier des graphies résultant d’une évolution étymologique ou phonétique, mais visent à mettre fin à une anomalie, à une incohérence, ou, simplement, à une hésitation, et ainsi à permettre l’application sans exceptions inutiles d’une règle simple, à souligner une tendance phonétique ou graphique constatée dans l’usage, ou encore à faciliter la création de mots nouveaux, notamment dans les domaines scientifique et technique, et, de manière générale, à rendre plus aisés l’apprentissage de l’orthographe et sa maîtrise. "

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