Il est encore là, le petit freluquet :
Désormais le geste domine le caquet :
Il a, d’un bras ouvert, un appel préhensif…
Il se veut dominant, il demeure poussif.
De ses ronds de jambes, les yeux sur ses papiers,
Il entreprend une petite marche à pieds,
Mais le cercle est fermé et il est reflué,
Comme prisonnier de tous ces éberlués.
Macron s’accroche encore à ses étiques rêves
Et il n’en finit pas et il le fait sans trêve :
C’en devient douloureux, tant toujours si abscons…
Nous prendra-il longtemps encore pour des cons ?
Monsieur le Président, je crois qu’il est bien temps
De partir sans ne plus être aussi insistant :
Vous n’avez pas perçu que le peuple grondait…
Ouste ! et sans plus passer pour l’éternel baudet.
Partez sans tintamarre en toute discrétion !
Le peuple en a assez de vos incantations :
Que l’on ne vous voie plus, chacun sera content,
Vous aurez quand même bien votre argent comptant. (9/03/2019)