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OQTF expulsés, places de prison : Macron n’a tenu aucune promesse.

, par  Manuel Gomez , popularité : 26%
Cet article provient d'une source externe à NJ sans autorisation mais à titre d'information.
Le président Macron avait promis 15 000 places de prison. Le président Macron avait promis que 100 % des OQTF (Obligation de Quitter le Territoire Français) seraient expulsés. Le président Macron avait promis, etc. Aucune de ses promesses n’a été tenue. Avec près de 80.000 détenus, le taux d’occupation dépasse les 150 % et même les 200 % dans 17 prisons. En 20 ans la population carcérale a augmenté de plus de 60 %. Environ 20.000 étrangers occupent les prisons françaises et environ 40.000 de ces détenus sont de religion musulmane. Près de 140.000 OQTF sont dispersés sur notre territoire. Les CRA (Centre de Rétention Administrative) sont surchargés. Les retenus se révoltent, s’évadent et disparaissent. Malgré toute sa bonne volonté et son engagement permanent, le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, a les mains liées par les règlements européens d’une part, et la non-délivrance des laissez-passer consulaires d’autre-part (nombreux sont les pays, notamment l’Algérie, qui refusent de « récupérer » leurs criminels, violeurs, voleurs, etc.). Et pourtant il y a une solution inattaquable à toutes ces impossibilités, une solution bien française qui permettrait de se débarrasser de toute cette racaille et cela fait des années que je la propose. Qu’il me soit permis de m’étonner qu’elle ne soit pas, au moins, étudiée : nous disposons de nombreux territoires bien français, hors de la métropole, dans lesquels il serait bien moins onéreux de construire des milliers de baraquements et d’y expédier ces dizaines de milliers, d’une part, de détenus dans nos prisons et, d’autre-part, d’OQTF refusés par leurs pays. Bien entendu dans des conditions sanitaires et humanitaires plus actuelles que celles qui existaient, jusqu’en 1945, dans les bagnes de Cayenne, St-Laurent du Maroni et, dans une époque précédente, en Nouvelle Calédonie. Pourquoi envisager des solutions qui prêtent à opposition européenne (Albanie, Rwanda, etc.) alors que l’Union européenne ne pourrait que s’incliner (bien malgré elle) si une telle possibilité était envisagée ? La question mériterait pour le moins d’être posée.

Voir en ligne : http://magoturf.over-blog.com/2024/...