Des petits hommes, gris et craintifs, vont commémorer ce mercredi après-midi le bicentenaire de la mort de Napoléon. Le chef de l’Etat, faux Bonaparte vu de profil, prendra des pincettes, nous dit-on, pour rendre hommage à l’embarrassant géant : trop guerrier, trop machiste, trop raciste, trop (...)