L’émotion, qui  submerge la France depuis la mort des deux journalistes de RFI, est légitime. Elle l’est moins lorsqu’elle engage des décisions stratégiques et tactiques sur le terrain. À l’image de l’annonce que la porte-parole du gouvernement a faite le lendemain aux Échos : « Il nous reste près de 3 (...)
	
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