J’ai visionné avec un intérêt certain les six épisodes de la série « Fortune de France » et ce qui a le plus retenu mon attention c’est la cruauté, la barbarie qui a marqué cette époque qui a vu s’affronter les deux religions, catholiques contre protestants, et dénombré environ 30.000 victimes, marquée par le massacre de la Saint Barthélémy. Deux religions à l’époque aussi cruelle l’une que l’autre, ce qui, de nos jours, peut nous paraître totalement ahurissant.
Et soudain ma réflexion a bifurqué vers les moments tragiques que nous vivons actuellement. Il y a toujours une religion aussi barbare, aussi cruelle, dont l’objectif final est l’éradication non pas d’une autre religion « mais de toutes les autres religions et non pas dans un pays mais dans tous les pays ».
Vous l’avez bien sûr compris il s’agit de la religion islamique et notre France est plus particulièrement la première cible de cette guerre mondiale.
J’ai dit la France et non pas Israël car la guerre menée contre ce pays n’est pas une guerre de religion mais une guerre raciste. Il s’agit pour certains pays arabes d’exterminer les « juifs » qui, selon eux, occupent un territoire qui ne leur appartenait pas.
La différence entre les deux affrontements est non seulement visible mais même quelquefois incomprise : les Israéliens non seulement se défendent mais attaquent et gagnent et cela apparaît comme « insupportable » pour l’ONU et notamment par certains gouvernements de pays européens. « Ils » ne comprennent pas qu’Israël ne se laisse pas « éradiquer » et résiste. « Ils » ciblent son manque total « d’humanisme » responsable des ces dizaines de milliers de victimes, aussi bien en Palestine qu’au Liban. Il est vrai que toutes ces femmes et ces enfants qui sont fauchés au cours de ces guerres ne sont pas responsables mais cela ne doit en aucun cas faire oublier que les Palestiniens ont, en très grande majorité, soutenus et aidés le « Hamas » et que les Libanais ne se sont pas opposés ouvertement à l’implantation du « Hezbollah » sur leur sol et, tout comme les Palestiniens, n’empêchent pas les tirs quotidiens de rockets et de missiles contre la population civile israélienne.
En revanche, « nos religions », qui « elles » sont très « humanistes », se soumettent non seulement très aimablement mais prêtent même quelquefois aide et assistance à la progression de l’islamisme sur nos sols.
A l’évidence ce ne sont plus les catholiques et les protestants du 16e siècle qui défendent leurs religions en France.
Mais les peuples ne sont-ils pas, en grande partie, responsables ? Les Palestiniens, les Libanais et, demain, les Français ?