Le « Grand remplacement », dont on évite le sujet dans tous les médias (Presse et TV), se poursuit inexorablement mais il ne concerne pas uniquement la France, bien qu’elle soit l’une des plus menacées, il concerne de très nombreux pays occidentaux désormais aux ordres de l’Union Européenne.
L’Allemagne, l’Italie, la Grèce, la Belgique, par exemple, et surtout plus particulièrement l’Espagne, dont la situation géographique la place au tout premier rang des prochaines destinations des « migrants » économiques de tout le Maghreb.
Le Maroc se situe à moins de 20 kilomètres et l’Oranie (Algérie) à moins de 200 kms.
Les chiffres qui vont suivre sont officiels et publiés par l’Union des Communauté Islamistes d’Espagne car, en Espagne, contrairement à la France, ces chiffres ne sont pas dissimulés ni même occultés par ordre.
Il y a plus de trois millions cinq cent mille sujets appartenant à la religion musulmane actuellement en Espagne, soit environ 7 % de la population. (Bien loin du pourcentage de la France)
779.080 sont des « Hispano-musulmans », donc de nationalité espagnole.
Plus de 2 millions ont été naturalisés au cours des dernières décennies.
40% de cette population est originaire du Maroc.
Ce sont ensuite les Algériens qui occupent largement la seconde place, surtout depuis début 2020, devant les Pakistanais (environ 80.000) et les musulmans africains (environ 70.000).
La répartition, sur l’ensemble du territoire, se lit de la manière suivante :
*Environ 800.000 en Catalogne. (Qui est forcément la région la plus exposée aux actes terroristes)
*Environ 500.000 en Andalousie.
*Environ 350.000 dans la région de Madrid et le même nombre dans la région de Valence.
(Environ, car vu le nombre de clandestins non comptabilisés ou de passage vers la France, il est impossible de fournir des chiffres à peu près exacts).
La province de Valence compte plus de 50.000 jeunes maghrébins dans ses Lycées, collèges et instituts.
Malgré les demandes pressantes de l’Union des Communautés Islamistes, l’Espagne se refuse toujours, pour le moment, a engagé des professeurs musulmans à la charge de l’État, mais l’UCI espère que cela ne saurait tarder, compte tenu de la poursuite des entretiens actuels.
En ce qui concerne plus particulièrement la province d’Alicante, région où les Algériens composant la classe moyenne s’implantent de plus en plus (Ils viennent en vacances et profitent pour acquérir des biens immobiliers et ils y installent leurs familles) dans certaines villes situées au sud comme Crevillente, Orihuela, Torrevieja, et les environs, où les achats concernant l’immobilier se sont élevés à plus de 250 millions d’euros depuis 2017. (Environ plus de 3000 appartements à un prix moyen de 80.000 euros) et chaque nouvelle année ce sont environ 5000 maghrébins qui s’installent dans cette province d’Alicante qui, aujourd’hui, compte un peu plus de cent mille résidents de religion musulmane (environ 80.000 uniquement sur Alicante-ville).
L’implantation des Marocains se situant au sud de l’Andalousie, entre Alméria et Tarifa.
Une majorité prend la nationalité espagnole et, comme la binationalité n’existe pas, elle abandonne la nationalité algérienne ou marocaine.
Leur résidence fiscale est en Espagne mais, pour un grand nombre, ils travaillent la majeure partie de leur temps en Algérie et au Maroc.
Ils sont attirés, bien sûr, par le climat exceptionnel mais surtout par les prix à la baisse de l’immobilier provoquée par la crise qui a frappé la péninsule ibérique.
Ils espèrent ainsi échapper à la crise qui, selon eux, frappe l’Algérie et qui s’annonce chaque année comme irrémédiable, surtout avec l’apparition du « Covid » et les dégâts produits par cette nouvelle pandémie que le gouvernement est dans l’impossibilité de stopper.
Ils en sont bien plus conscients que nous, Européens et surtout Français.
La situation est donc, pour le moment, moins dramatique en Espagne qu’en France, mais avec le laxisme actuel du gouvernement socialiste, qui ne se sent pas encore concernés, elle pourrait mettre en danger l’Espagne, où il fait si bon vivre aujourd’hui…mais demain ?
En ce qui concerne la France, je crains fort qu’il ne soit, hélas, trop tard !