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LES BARBOUZES - SUPPLICIÉS ET TORTURÉS POUR L'ALGÉRIE FRANCAISE

, par  popodoran , popularité : 5%
Cet article provient d'une source externe à NJ sans autorisation mais à titre d'information.

Avec le concours de Jean-Paul Ruiz

Le communiste Maurice Audin était complice actif du FLN. La France étant en guerre contre le FLN et l’ALN, sa branche armée, Audin était un traître à sa patrie et méritait d’être exécuté comme le fut l’algérois Yveton, autre communiste qui avait rejoint le FLN. Ceux qui considèrent Audin comme un martyr, victime de l’Armée Française, sont hémiplégiques et occultent volontairement les assassinats commis par le pouvoir gaulliste et ses barbouzes contre les défenseurs de l’Algérie française.

* Charly Daudet :

Charly Daudet est né à Oran en 1926. Il s’engage très tôt en faveur de l’Algérie française, passant de Volonté Algérienne en 1955, puis au FNF et au FAF et enfin à l’OAS. Arrêté le 10 septembre 1961 à Constantine, il a été trouvé mort dans sa cellule trois jours après. Ses assassins, le commissaire Amichaud et le contractuel Manfredi ont tenté de maquiller leur crime en suicide en pendant le cadavre de Charly. La mise en bière a été ordonnée de toute urgence, mais une contre autopsie a révélé :

1- un état physique à la dernière extrémité (Charly est resté trois jours sans nourriture avec pour seule boisson de l’eau salée)

2- des marques d’électrodes apparaissant sur plusieurs parties du corps.

3- la nuque portant la trace d’un coup très violent.

Amichaud et Manfredi ont obtenu leur mutation immédiate, signant ainsi leur forfait. Selon la version de ces deux horribles tortionnaires, Charly Daudet se serait suicidé en se pendant au moyen d’une serviette éponge à l’espagnolette d’une fenêtre. Daudet mesurait 1,75 m et ça n’est pas facile de se pendre à une poignée de fenêtre située à 1,10 m du sol. Il faut avoir une singulière envie d’en finir avec la vie. Un médecin, le Dr Ohlicher refusa le permis d’inhumer. Un témoin, membre du Service de secours, appelé pour réanimer la victime, entendit l’un des deux tortionnaires demander à son acolyte :"Qu’as-tu fait ?" - "Il ne voulait pas parler, j’ai mis le courant fort". Et le jeune martyr a pu signaler, une demie heure avant sa mort, cet acte de barbarie digne des méthodes soviétiques par ces quelques mots :" Je n’ai pas parlé, il faut continuer la lutte jusqu’au bout".

Avant de quitter Oran, le 22 avril 1961, il avait dit à sa mère : "Tu seras fière de moi, Maman".

(Tract de l’OAS publié par l’ADIMAD-MRAF)

* Les frères COUTURIER

À Ténès, le 14 janvier 1962, deux frères Henri COUTURIER 18 ans, Paul COUTURIER 14 ans, enlevés par les terroristes FLN avec la complicité de barbouzes gaullistes. Séquestrés, suppliciés, torturés durant deux mois glacials dans le maquis du Zaccar (Orléansville). Retrouvés ligotés, ventres ouverts, égorgés et émasculés le 18 mars 1962 (jour de la signature des prétendus accords d’Évian). Les pouvoirs publics ayant refusé de restituer les corps à la famille profondément éplorée et meurtrie ad vitam aeternam, il lui a été impossible d’avoir ni office religieux, ni obsèques, ni sépulture.

(Site de Tenes).

Bien sûr, il y a eu d’autres exemples de martyrs de l’Algérie française suppliciés et torturés par l’équipe spéciale du colonel Debrosse à la caserne des Tagarins à Alger.

Entre autre le cas de MADAME GENEVIEVE SALASC , épouse d’un médecin algérois, qui avait été internée et torturée sauvagement car Debrosse voulait qu’elle dévoile où se cachait le général Salan.

Certains de ces tortionnaires ont été décorés de la médaille d’argent "pour acte de courage et de dévouement".

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Voir en ligne : http://popodoran.canalblog.com/arch...