Avez-vous pris votre abonnement 2024 ? Non ! CLIQUEZ ICI !
Ou alors participez avec un DON


Découvrez des pages au hasard de l’Encyclo ou de Docu PN
A compter du 25 mai 2018, les instructions européennes sur la vie privée et le caractère personnel de vos données s’appliquent. En savoir +..

LE BON SENS

, par  Suzanne de Beaumont , popularité : 6%
Cet article provient d'un membre ou soutien de NJ, il(elle) s'exprime ici. Vous pouvez vous aussi nous soumettre vos textes.

LE BON SENS
Pour appréhender le monde je dispose de mes cinq sens et de la culture que j’ai acquise. Je vois, j’entends, je sens, je goûte, je touche et j’ai appris qu’il y a la vie et la matière inerte.

Pourtant les découvertes nous montrent qu’en réalité tout bouge, tout se transforme, il faudrait dire que en réalité tout est une question de temps. Ce que nous appelons vivant, c’est ce qui bouge dans notre temps. La vie c’est donc le mouvement que nous observons.

C’est le mouvement des océans qui en brassant des milliards de particules leur ont permis de se mélanger, de se diversifier et d’engendrer la vie que nous voyons.
La terre produit en permanence du fond des océans et du fond des terres une multiplicité de formes de vie incommensurable. Je rejoins l’idée que se faisaient les Grecs de la terre notre mère, GAIA.

Peut-être que dans le futur les hommes se détacheront de la terre et diront l’univers notre père.Pour l’instant nous sommes sur terre.

Toutes ces formes de vie sur terre, se bousculent et tentent chacune d’envahir l’espace. Toutes les observations scientifiques montent que chaque espèce se développe et conquière de l’espace. Il y a les envahisseurs et ceux qui disparaissent

Depuis quelques centaines d’années l’espèce humaine envahit la totalité de la terre aux dépens de nombreuses espèces qui disparaissent. Les hommes créent des espaces pour essayer de conserver ce monde qui disparaît.

Mais nous sommes confrontés au monde minuscule des microbes et des virus. Malgré toutes les créations chimiques et notre victoire contre les bactéries nous sommes battus en brèche par les virus.

Nous arrivons à juguler bon nombre de virus mais les virus respiratoires semblent capables de nous terrasser. Nous avons connu des grippes espagnoles ou asiatiques qui ont fait centaines de millions de mort. Malgré cela l’humanité augmente dans des proportions difficiles à gérer.

Autrefois les virus opéraient sur des continents et disparaissaient. Aujourd’hui les hommes sont si nombreux que les virus n’ont aucun mal à sauter de l’un à l’autre. Il n’y a plus suffisamment d’espaces pour les arrêter. Aujourd’hui les hommes se déplacent tellement qu’ils véhiculent les virus partout dans le monde.

Mais chose extraordinaire, ce dernier virus dénommé covid 19 préfère tuer les vieux plutôt que les jeunes.

Est-ce que GAIA notre mère se secoue les puces et élimine l’excédent des êtres humains en éliminant les plus vieux.

Le covid 19 qui préserve les jeunes serait le sauveur de l’humanité ?

JPEG - 17.1 ko

Navigation



TWITTER semble avoir bloqué certaines diffusions, il n'y aucun tweet pour l'instant.