Pour parler de quota on joue avec les nombres :
Le gouvernement ne fait pas de coupes sombres
De trois mille huit cents à huit mille trois cents
On a franchi le pas et sans verser de sang.
Inverser quelque chiffres n’est qu’un jeu d’enfant :
Qui pourrait aujourd’hui sonner de l’olifant ?
Roncevaux certes n’a plus besoin d’un Roland,
Les policiers, eux, demeurent les bras ballants.
Le flot des réfugiés devient un vrai torrent :
Arrivent d’un coup enfants, parents, grands-parents,
Personne ne s’étant jamais bien rendu compte
Qu’il faudrait peut-être plus tard rendre des comptes.
Il fallait bien sûr respecter le droit du sol :
Quand un immigré y plantait son parasol
C’est toute la meute de sa grande famille
Qui débarquerait de Menton à Vintimille.
Et l’administration de boucler les dossiers
En signant les visas toujours circonstanciés…
Les pauvres petits Blancs avalant les pilules
De toutes les couleurs que la France accumule. (28/07/17)