L’avenir de l’Europe !
28 Juillet 2024
L’immigration est le seul domaine non militaire où se pratique une sorte de « secret défense » officieux, avec pour intention louable de ne pas mettre de « l’huile sur le feu » et faire ainsi le jeu de l’extrême droite.
Ce qui prouve, bien entendu, qu’il y a réellement le feu où, tout au moins, la « braise » avant l’incendie.
Par exemple, la Direction générale de la Commission Européenne, chargée de l’information statistique, accuse la France « de ne pas comptabiliser, dans les données qu’elle transmet, les demandeurs d’asile entrés dans l’Union Européenne par le biais d’un autre pays ». Plusieurs dizaines de milliers « d’oubliés » chaque mois.
Et cet oubli se pose depuis 2009, selon la DGEF (Direction générale des étrangers en France).
On dépasse largement les 500.000 « arrivants » chaque nouvelle année avec pour essentiel des migrants venant d’Afrique et du Moyen-Orient.
Plus de 100.000 OQTF (Obligation de Quitter le Territoire Français) et seulement un tiers quitte le pays en départs volontaires ou expulsions.
97% des « déboutés du droit d’asile » deviennent des clandestins illégaux en France. Et chaque migrant coûte environ 15.000 euros par an et plus de 50.000 euros chaque « mineur isolé ».
La France est le « Paradis » de tous les clandestins venus en Europe.
Et cela n’est pas prés de diminuer puisqu’un ministre espagnol a déclaré : « Nous avons besoin de 8 à 10 millions de migrants pour garder notre population active au même niveau ».
Il est vrai que Jean-Paul Delevoye avait, à l’époque, parlé de 50 millions d’immigrés pour équilibrer la population active en Europe.
Les « Elites » ne prétendent-ils pas qu’une « société multiculturelle devrait être le « Paradis » ?
Mais à qui la faute ? La baisse de la natalité se poursuit allègrement en Europe, elle passe sous la barre des 1,5 enfant par femme et, pour conséquence, il sera très prochainement impossible de financer les retraites d’une population vieillissante et donc la seule solution que l’on nous propose est « l’importation de populations immigrées sur notre sol ».
« Le métissage est donc l’avenir de l’Europe »
Rappelons la déclaration d’Eric Besson, ministre de l’identité nationale et de l’immigration, en 2010 : « Il n’y a pas de français de souche, il n’y a qu’une France de métissage ».