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L’abjecte provocation wokiste de la « cérémonie » d’ouverture des JO 2024

, par  Bernard Antony , popularité : 2%
Cet article provient d'une source externe à NJ sans autorisation mais à titre d'information.
Article publié le 27 juillet 24

Bernard ANTONY communique :

On se demande bien pourquoi la gauche tient tant à gouverner la France puisqu’elle gouverne sa culture et ses consciences depuis des décennies jusqu’à l’abjecte apogée de ce 26 juillet 2024.

L’historien Patrick BOUCHERON, soutien du Nouveau Front populaire, qui a participé à l’écriture de cette « cérémonie » avait prévenu : ce sera l’inverse du Puy du fou. L’objectif est atteint.

Les auteurs de ce spectacle planétaire ont tenu à y distiller leur anti-culture wokiste et à l’imposer à 7 milliards de terriens : la propagande LGBT, l’emploi de la novlangue avec la « sororité », la glorification de Gisèle Halimi, Simone de Beauvoir et Simone Veil, l’imposition au monde entier dont potentiellement des millions d’enfants d’une culture partouzarde avec l’évocation d’un plan bisexuel à trois, le crachat fait à la culture et à la langue françaises quand les portes de l’Institut de France et donc de l’Académie française, qui ne sont ouvertes que pour le Président de la République et le Pape, laissent passer Aya Nakamura chantant dans son sabir franglais accompagnée de l’orchestre de la Garde républicaine, l’exaltation de la décapitation de Marie-Antoinette qui constitue dès lors une apologie de violences faites aux femmes.

Et des références satanistes et une haine anti-chrétienne assumée.

Ne parlons pas de la pitoyable prestation de Djamel Debbouze rencontrant Zinedine Zidane : « Zizou ! Zizou Christ ! ». Mais surtout, l’abominable sacrilège de la Cène du Christ, l’institution tout à la fois des sacrements du sacerdoce et de l’Eucharistie par laquelle Dieu fait homme s’offre en nourriture à l’homme pour son salut. Cette Cène outrageante est parodiée abominablement avec des drag-queens – des hommes se travestissant en femmes – représentant les apôtres et la DJ Leslie Barbara Butch, décrite comme une icône lesbienne des nuits parisiennes dont la tête est auréolée représentant Jésus devant des platines de disque. Le scandale a été poussé jusqu’à faire jouer une enfant dans cette scène aux accents lascifs et profanatoires et aux allures de messe noire.

Et misérablement, France 2, la chaîne du service public, la chaîne qui doit représenter tous les Français, qui jouit de ce spectacle de haine vomitive en tweetant : « une Cène LE-GEN-DAIRE » ! Ils savent parfaitement ce qu’ils font.

Evidemment, ces misérables wokistes ne s’attaquent qu’à ceux dont ils ne risquent rien. Ils n’auraient pas fait 10% de cela contre le Prophète MAHOMET de l’aveu même de l’avocat de CHARLIE HEBDO qui revendique le « merveilleux droit d’emmerder Dieu ».– ce qui aurait été tout aussi abject car chacun a droit au respect de ses sentiments religieux au-delà même de la loi naturelle qui interdit moralement de profaner le nom de Dieu.

Mais ici, ce sont près de trois milliards de Chrétiens qui sont injuriés.

Si les Evêques de France ont déploré cette seule scène parodique, ils ne sont pas allés au-delà de ce qu’ils qualifient d’outrance, de dérision et de moquerie alors qu’il s’agit de bien autre chose. Ils n’ont même pas été capables de dénoncer une volonté blasphématoire et profanatrice. Nous n’attendons évidemment rien de leur association « Croyance et Libertés » qu’ils ont créée pour ne pas laisser le monopole de la défense des Chrétiens à l’AGRIF et qui n’a jamais rien fait.

C’est donc une nouvelle fois l’AGRIF, dont c’est la mission et l’honneur, qui ira devant les tribunaux défendre le droit des Chrétiens au respect auquel chacun a droit.

Depuis 30 ans, la Cour européenne des droits de l’homme rappelle que « la liberté de pensée, de conscience et de religion (…) est, dans sa dimension religieuse, l’un des éléments les plus vitaux contribuant à former l’identité des croyants et leur conception de la vie. (…) La manière dont les croyances et doctrines religieuses font l’objet d’une opposition ou d’une dénégation est une question qui peut engager la responsabilité de l’Etat, notamment celle d’assurer à ceux qui professent ces croyances et doctrines la paisible jouissance du droit garanti par l’article 9. (…) On peut légitimement estimer que le respect des sentiments religieux des croyants tel qu’il est garanti à l’article 9 (art. 9) a été violé par des représentations provocatrices d’objets de vénération religieuse ; de telles représentations peuvent passer pour une violation malveillante de l’esprit de tolérance, qui doit aussi caractériser une société démocratique.

De même, « dans le contexte des croyances religieuses, figure l’obligation générale d’assurer à ceux qui professent ces croyances la paisible jouissance du droit garanti par l’article 9, y compris l’obligation d’éviter autant que faire se peut des expressions qui, à l’égard des objets de vénération, sont gratuitement offensantes pour autrui et profanatrices.

L’AGRIF va donc réclamer jusque devant la Cour européenne des droits de l’homme des comptes aux auteurs, diffuseurs et promoteurs de cette provocation wokiste, de cette atteinte à l’innocence de l’enfance et de cette abjection antichrétienne et antidémocratique. Il s’agira à nouveau d’une longue bataille.

Elle a chargé son avocat coordinateur Maître Jérôme TRIOMPHE d’engager les différentes actions qui s’imposent.

Voir en ligne : https://www.lagrif.fr/labjecte-prov...