« Bienvenue aux réfugiés », c’était début 2016 et la foule allemande alignée des deux côtés, acclamait et applaudissait ce million de « migrants ».
Fin 2016 le « point de rupture » était atteint et l’Allemagne décidait à son tour d’expulser 6400 maghrébins (2600 Algériens, 2400 Marocains et 1400 Tunisiens) qui ne sont guère des « demandeurs d’asile », puisque leurs pays n’étaient pas en guerre.
Mais le problème était que la Tunisie, l’Algérie et le Maroc n’acceptaient, avec une mauvaise volonté évidente, de n’accueillir que leurs ressortissants munis de documents d’identité officiels, or, la très grande majorité de ces 6400 maghrébins avait pris bien soin, dès leur arrivée à Lampedusa (Italie), de se débarrasser de leurs documents officiels afin de se faire passer pour de véritables réfugiés syriens, demandeurs d’asile, et éviter ainsi l’expulsion.
C’était le cas également de ces 1400 Tunisiens que les Allemands avaient décidé d’expulser après l’attentat du marché de Noël à Berlin. Il s’agissait là d’une partie des 25.000 Tunisiens arrivés depuis 2011, auxquels les autorités italiennes avaient accordé des titres de séjour provisoire et qui se sont répartis entre la France, la Belgique et l’Allemagne.
Le gouvernement tunisien refuse de les recueillir mais se « débarrasse » de « ses » migrants illégaux.
« L’État tunisien n’est pas favorable au retour de ces Tunisiens qui sont partis, ni des 2926 terroristes qui ont rejoint les rangs Daech. Ceux qui reviendront seront immédiatement arrêtés et jugés selon la loi antiterroriste. Nous les connaissons un par un et nous avons toutes les données sur eux. »
L’Allemagne a finalement pris conscience des conséquences provoquées par la politique d’immigration incontrôlée et a pris les mesures afin d’y mettre fin.
La France se trouve dans une situation identique avec des milliers de migrants clandestins et sans papier, que leurs pays d’origine refusent d’accueillir et qui bénéficient de la bienveillance des autorités françaises.
Des centaines de milliers de « non expulsables » attendent patiemment leur régularisation puisque « être clandestin » n’est plus, depuis 2012, un délit en France.
Le gouvernement algérien vient de « refuser » tout simplement d’accorder des visas pour le retour au pays des OQTF et de quelques clandestins « se foutant ouvertement de la gueule de Macron et de Darmanin, mais également de la France ». La réponse devrait être immédiate : « plus de visas de l’Algérie vers la France, ni pour les étudiants ni pour les touristes » (qui pour un grand nombre ne retourne pas chez eux !).
Jamais la France n’a subi autant d’humiliations que durant les deux quinquennats du président Macron !