LES BARBARES QUE LA FRANCE AVAIT CHASSÉS D’ALGÉRIE EN 1830 REVIENNENT EN FORCE EN 1962 AVEC L’AIDE CRIMINELLE DE CHARLES DE GAULLE ET DE SES SBIRES.
A ALGER, dans la nuit du 4 Août 1962 ces barbares s’en prennent à la statue équestre de Jeanne d’Arc symbole de courage et de liberté, de sacrifice de soi et de résistance à l’envahisseur.
Cette statue érigée, en plein centre d’Alger, rue Charles Péguy face au Forum et au Monument aux Morts et à deux pas de la Grande Poste, a assisté impuissante au tragiques événements du 24 janvier 1960 « les barricades » et à la fusillade meurtrière du 26 mars 1962.
Les barbares renversent avec des voitures la pauvre statue qui pèse 2 tonnes et demie puis ils la décapitent, lui coupent le bras droit qui tenait l’épée symbole de la croix.
(Jeanne avait baptisé cette épée « Sainte-Catherine-de-Fierbois)
La statue horriblement mutilée resta ainsi quarante-huit heures avant d’être mise à l’abri par des militaires français du Génie et rapatriée en France.
Après des années de restauration à l’identique, grâce à la maquette que le sculpteur Halbout du Thanney avait conservée, assurée par souscription publique, la statue équestre de la Jeanne d’Arc d’Alger a été inaugurée à Vaucouleurs le 8 mai 1966 en présence de Pierre Messmer, alors ministre des Armées et l’un des principaux complices du bourreau de Colombey-les-Deux-Églises.
Jean-Louis Martinez



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