Avez-vous pris votre abonnement 2024 ? Non ! CLIQUEZ ICI !
Ou alors participez avec un DON


Découvrez des pages au hasard de l’Encyclo ou de Docu PN
A compter du 25 mai 2018, les instructions européennes sur la vie privée et le caractère personnel de vos données s’appliquent. En savoir +..

Ils voulaient « se faire un blanc ». Racistes ? Mais non !

, popularité : 2%
Cet article provient d'une source externe à NJ sans autorisation mais à titre d'information.

Extrait :

Ils sont noirs et en sont fiers. Ou plutôt, si on veut être juste : ils éprouvent de la haine car ils ne sont… pas blancs. Nuance de taille. L’un d’eux a — dit-il — déjà subi des propos racistes dans son lycée. Bref, deux lascars, le bourrichon sûrement bien monté par des clips de rap et par l’ambiance de laxisme généralisé. Ils se sont dit : « On va se faire un blanc. » Pourquoi pas, c’est une occupation comme une autre, de nos jours ? Et ils sont passés à l’acte, la nuit du 13 au 14 juin, dans un appartement situé rue de la Clé, au cœur du Vieux-Lille.

La victime du hasard racial, un étudiant. Qui se fait bastonner, doit donner sa carte bancaire et le code sous les menaces. Mais il n’y a pas assez de fric qui sort. Retour à la case départ, dans l’appart’. Cette fois-ci, c’est la sauvagerie. « Appartement mis à sac, télés cassées, cordes de la guitare coupées, coups », relate la presse régionale. Le « sale blanc » doit avaler de force des médicaments Ils sont noirs et en sont fiers. Ou plutôt, si on veut être juste : ils éprouvent de la haine car ils ne sont… pas blancs. Nuance de taille. L’un d’eux a — dit-il — déjà subi des propos racistes dans son lycée. Bref, deux lascars, le bourrichon sûrement bien monté par des clips de rap et par l’ambiance de laxisme généralisé. Ils se sont dit : « On va se faire un blanc. » Pourquoi pas, c’est une occupation comme une autre, de nos jours ? Et ils sont passés à l’acte, la nuit du 13 au 14 juin, dans un appartement situé rue de la Clé, au cœur du Vieux-Lille.

La victime du hasard racial, un étudiant. Qui se fait bastonner, doit donner sa carte bancaire et le code sous les menaces. Mais il n’y a pas assez de fric qui sort. Retour à la case départ, dans l’appart’. Cette fois-ci, c’est la sauvagerie. « Appartement mis à sac, télés cassées, cordes de la guitare coupées, coups », relate la presse régionale. Le « sale blanc » doit avaler de force des médicaments et, pire encore, est aspergé de produit de nettoyage. « Les blancs, ça pue ! », crie un des barbares. Sur les murs, nos deux jeunes poètes taguent des inscriptions clairement racistes : « NIKE LES BLANCS, BLACK POWER REVIENT. » Du grand art. Mais au moins, c’est clair, si on ose dire.

Rapidement arrêtés, le duo noir de haine passe aux aveux. Un gamin de 15 ans et son complice de 20 ans, lequel avait déjà agressé une femme le 3 juin dernier. Le plus jeune avoue qu’il avait « envie de dépouiller un blanc ». Une agression raciste, donc, on ne peut pas faire plus évident, tellement c’est caricatural. Raciste ? Eh bien non, pas pour la justice française !

Si le tribunal de Lille a condamné ce lundi un des tortionnaires à… 15 mois de prison dont 8 avec sursis, « les magistrats n’ont pas choisi de qualifier les faits avec la circonstance aggravante de l’acte raciste », explique le site Metronews qui d’ailleurs s’est empressé, « pour prévenir une vague de commentaires à contenu inapproprié », de fermer « à regret l’espace de réactions ». Il valait mieux, en effet. et, pire encore, est aspergé de produit de nettoyage. « Les blancs, ça pue ! », crie un des barbares. Sur les murs, nos deux jeunes poètes taguent des inscriptions clairement racistes : « NIKE LES BLANCS, BLACK POWER REVIENT. » Du grand art. Mais au moins, c’est clair, si on ose dire.

Rapidement arrêtés, le duo noir de haine passe aux aveux. Un gamin de 15 ans et son complice de 20 ans, lequel avait déjà agressé une femme le 3 juin dernier. Le plus jeune avoue qu’il avait « envie de dépouiller un blanc ». Une agression raciste, donc, on ne peut pas faire plus évident, tellement c’est caricatural. Raciste ? Eh bien non, pas pour la justice française !

Si le tribunal de Lille a condamné ce lundi un des tortionnaires à… 15 mois de prison dont 8 avec sursis, « les magistrats n’ont pas choisi de qualifier les faits avec la circonstance aggravante de l’acte raciste », explique le site Metronews qui d’ailleurs s’est empressé, « pour prévenir une vague de commentaires à contenu inapproprié », de fermer « à regret l’espace de réactions ». Il valait mieux, en effet.

Voir en ligne : http://www.bvoltaire.fr/joriskarl/i...