La douloureuse question des enlevés portés disparus reste toujours oppressante pour les familles. Le deuil est impossible tant que l’absence de preuves de décès perdure.
Le temps qui passe n’efface pas les interrogations. La quête des réponses à nos questionnements doit être inlassable.
Nous citerons la dernière phrase du livre émouvant d’Andrée MONTERO, Le cri retenu : « Depuis des années déjà septembre a enfoui cet espoir fou sous ses tapis de feuilles mortes, mais au plus dur de l’hiver, quand le vent hurle et gémit à mes fenêtres...souvent je crois entendre un appel. » |