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Covid : une coronafolie menace la démocratie

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Cet article provient d'une source externe à NJ sans autorisation mais à titre d'information.
publié le 31 mars 2021

Emmanuel Macron saura-t-il résister à la pression du lobby « enfermiste » ? C’est ce mercredi, à 20 heures, que le chef de l’Etat fera connaître ses choix. S’il reste cohérent avec sa politique, il devrait ne pas céder à la propagande sécuritaire des médecins hospitaliers parisiens. Ceux-ci monopolisent actuellement le discours médiatique, en distillant une terreur intellectuelle : ils annoncent l’apocalypse et plaident fanatiquement pour le Grand Confinement. Ce matin, sur Europe 1, le professeur Gilbert Deray a alimenté le catastrophisme en soutenant, alors que l’épidémie touche majoritairement les vieux : « On meurt de la Covid quand on est petit ». Le professeur Gilles Pialoux avait prévenu peu avant, décrivant l’asphyxie hospitalière : « Des patients mourront sur des brancards ». Le professeur Djillai Annane, lui, avait cru bon de prédire : « La situation ne reviendra pas à la normale avec la décennie actuelle ». Dimanche, dans le JDD, 41 directeurs médicaux de l’AP-HP (Assistance publique-Hôpitaux de Paris) ont signé une tribune sans retenue : « Nous n’avons jamais connu une telle situation, même pendant les pires attentats subis ces dernières années ». Ceux-ci menacent même de « faire un tri des patients ». Ces médecins décrivent certes ce qu’ils voient. Reste que leur insistance à vouloir peser par la peur devient dangereuse. Il est temps que la démocratie donne aussi la parole à ceux qui contestent ce despotique Ordre sanitaire et son unique vision démoralisante de l’avenir.

Une coronafolie est en train de contaminer une partie du corps médical de l’AP-HP, dirigée par Martin Hirsch et dont le conseil de surveillance est présidée par Anne Hidalgo, la maire de Paris. Le 17 mars Hirsch assurait, parlant de l’éventualité d’un reconfinement : « Le moment est venu ». En fait, cet ambitieux personnage laisse voir, et de plus en plus clairement, un dessein politique quand il ne prend plus d’égards pour s’opposer à l’Elysée. Son autoritarisme, dont ont fait les frais les professeurs Perronne et Raoult, est d’abord l’effet d’un système démocratique défaillant. En effet, il est anormal que l’establishment médical public parisien ait pu confisquer le débat et imposer si aisément ses dogmes, y compris en faisant interdire aux médecins généralistes de soigner librement. La mise au ban de l’hydroxychloroquine puis de l’ivermectine, médicaments boudés par le pouvoir scientifique, s’apparente à un coup de force dont les auteurs auront sans doute à répondre. D’autant que la science s’est largement déconsidérée dans ses querelles d’ego et de chapelles. Elle s’est montrée corruptible, quand elle a cautionné la fausse étude du Lancet contre l’hydroxychoroquine. Ce soir, c’est un homme seul qui fera connaître son choix personnel. Cette autre anomalie s’ajoute au poids excessifs des mandarins. Il serait temps que les Français soient entendus.

Voir en ligne : https://blogrioufol.com/covid-une-c...