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L’avis de Jean-François Touzé Je comprends parfaitement la rancœur que peuvent parfois éprouver certains de nos amis qui, dans des manifestations - certains en étant hélas restés mutilés a vie - lors d’opérations militantes, ou soudain confronté à la bêtise bureaucratique et au zèle de fonctionnaires butés, ont eu à un moment où un autre maille à partir avec les forces de l’ordre. Des gardes à vue j’en ai connues. Des manifs agitées, j’en ai vécues. Des collages qui finissaient au commissariat, je ne les ai plus comptés au bout d’un moment. Des coups reçus - y compris aux côtés de Jean-Marie Le Pen comme ce fut le cas en 1983 place du Palais Royal ou le Président eut la main brisée lors d’une charge de gendarmerie mobile, ou à la Préfecture de Nanterre un peu plus tard où les coups de crosses des mousquetons frappaient dur - je ne les ai pas oubliés. Mais ça, c’est la vie militante. Pour autant face à la menace gauchiste, face à la barbarie, face à la pègre des cités, face à la racaille qui attend son heure, face à l’islamisme qui étend son aile noire, nous devons soutenir, défendre et encourager nos policiers et nos gendarmes qui, lorsque la droite nationale sera parvenue aux responsabilités, disposeront enfin des moyens matériels, logistiques et légaux qu’ils n’ont pas aujourd’hui, recevront les ordres qui, pour le moment, leur font défaut, seront libérés de la tétanie qui les empêchent d’intervenir comme il le faudrait dans les banlieues ou sur les scènes de pillages, et constitueront ainsi le rempart de l’Etat fort que nous saurons instituer. Soutien donc à notre police. Quand on voit qui les attaque, on ne peut évidemment qu’être avec eux.