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26% de la population française présente un lien direct avec l’immigration.

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Cet article provient d'une source externe à NJ sans autorisation mais à titre d'information.

Selon la Cour des comptes, rapport de 2018, il n’y eut que 30.276 départs pour 132.978 mesures prononcées, avec pour cause principale « les impasses juridiques » qui compliquent terriblement les processus administratifs, mais également les difficultés d’identification des étrangers en situation irrégulière qui se débarrassent de leurs pièces d’identité et sont donc difficiles à identifier.

Déjà dans un rapport de 2015, la Cour des Comptes avançait le chiffre de 40.206 personnes déboutées du droit d’asile et cette même année 20.910 OQTF (Obligation de Quitter le Territoire Français) avaient été délivrées mais « seulement 1432 personnes avaient été éloignées. »

(Dans un tout récent article sur « Le Figaro », Nicolas Baverez confirme que 92% des OQTF ne sont pas exécutées.)

Une constatation s’imposait : « Une fois que l’on a mis le pied en Europe on a de très grandes chances de pouvoir y demeurer. » Cela est confirmé par les centaines de milliers de clandestins. Estimés à 900.000 par Nicolas Baverez mais très probablement au-dessus du million.

A noter que les demandes d’asile ont plus que triplé au cours de la dernière décennie et que les délivrances des titres de séjour ont augmentées de plus de 85% (Nicolas Baverez).

En 1968 la France comptabilisait 50 millions d’habitants dont environ 600.000 musulmans, soit 1,24%

Vingt ans plus tard, 1988, France 56 millions, musulmans 2 millions, soit 3.60%

2008 : France 66 millions, musulmans 8 millions, soit 11.90%

2018 : France 68 millions, musulmans 10 millions, soit 14%

(Toujours sur « Le Figaro », Nicolas baverez estime que 26% de la population française présente un lien direct avec l’immigration et que donc, la France, rejoint ainsi les Etats-Unis d’Amérique et ses 26% de population liés également avec des origines étrangères.)

Avec une fertilité pour les femmes françaises (ou Européennes) de 1,4 enfant par foyer et d’environ 3 par femme d’origine étrangère, selon certains démographes, la France, en 2050, pourrait comptabiliser 75 millions d’habitants pour 22 millions de musulmans, soit 30%.

Or, si dans les années 70 à 90 deux sur trois des immigrés venaient de l’Europe, depuis 2020 c’est plus de 55% de ces immigrés qui arrivent d’Afrique.

Bien qu’en majorité ces musulmans soient moins religieux pratiquants que leurs parents, ou que les musulmans des années 50/70, il y a de fortes probabilités pour qu’ils soient bien moins « assimilés » et davantage « islamisés ».

Du côté des Français « dits de souche » ou immigrés européens totalement assimilés, la tendance veut qu’ils soient dans « une détestation de soi, de leur civilisation, de leurs traditions et de leur Histoire. »

Leur Histoire ne leur inspire que des remords et des aspirations à la repentance. Ils éprouvent une certaine jouissance à s’autoflageller et cela et surtout vrai en ce qui concerne le passé colonial, pourtant bien glorieux quand il est comparé à celui des passés coloniaux d’autres nations.

L’exemple nous a été donné par des Présidents de la République Française qui se sont humiliés devant l’Algérie en dénonçant la colonisation française « comme un crime contre l’humanité » et par certaines déclarations de nos dirigeants « toujours prêts à exalter l’Islam ». Par exemple Jacques Chirac déclarant que « L’Europe doit autant à l’Islam qu’au christianisme », ou Jean-Christophe Cambadélis, ex-secrétaire du Parti Socialiste, lors du débat face à Eric Zemmour : « La France peut accueillir sans problème 500.000 immigrés tous les ans, venus majoritairement d’Afrique. »

Pour conclure, il est important de signaler que, chez les immigrés, le taux de chômage est le double que sur le reste de la population, que le taux de pauvreté atteint les 40% et que plus de 20% des enfants, de ces foyers d’immigrés, ne dépassent pas le plafond du « Brevet ».

En grande partie responsable de cette situation dramatique : la paralysie des institutions et l’absence de prises de décisions des responsables politiques.

La France n’a aucune obligation, ni devoir d’accueil, il est donc impératif d’encadrer les immigrations, dans l’intérêt premier des immigrés, et d’établir des quotas en fonction des besoins de notre économie.

Pour revenir au début de notre article, il est vrai que les « expulsions » coûtent très chères – 13.800 euros par départ, soit environ 500 millions en 2018 – et qu’il serait préférable et moins onéreux d’imiter d’autres nations qui pratiquent les « aides au retour vers le pays d’origine’ environ 2500 euros par départ…à la condition que les « partants » volontaires ne soient pas de retour quelques semaines ou mois plus tard !

Les civilisations ne meurent pas assassinées, elles meurent parce qu’elle se suicident (Toynbee).

Voir en ligne : http://magoturf.over-blog.com/2021/...