Contrairement à nos élites formatées, François Mittérand avait "fait" la guerre d’Algérie.
Ses souvenirs, ses réflexions, ses cauchemars, lui avait imposé cette conclusion que des esprits, ne travaillant pas pour l’histoire, mais amenant une idéologie à des fins qui ne les honorent pas, feraient bien de méditer.
Mes parents, colons d’Algérie, dans leur deux pièces cuisines, avaient l’habitude de dire à leurs deux filles et trois garçons, "Quando lo que sabe habla, quien non sabe, se cailla".