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Stop à Mare Nostrum ! Arrêtons l’invasion ! Défendons nos frontières !

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Dans l’Italie dirigée par la nouvelle coqueluche de l’Union européenne Matteo Renzi, les citoyens italiens, étranglés par le chômage et la rigueur, comme des millions d’Européens, plongent dans la pauvreté et la misère.

De plus en plus nombreuses sont les victimes d’un système injuste, imposé par l’UE, qui agit contre ses propres citoyens.

Tous les ingrédients d’une crise sociale majeure s’accumulent et dans ce pays, miné par une profonde récession, la crise vire souvent à la tragédie : le nombre de suicides explose.

Dès lors, dans un pays économiquement laminé, le flux ininterrompu d’immigrants bénéficiant d’avantages sociaux refusés aux Italiens de souche, de plus en plus soumis à une pression fiscale sans précédent, suscite un légitime sentiment d’injustice, de révolte et de colère.

Si encore les immigrants étaient reconnaissants.

Mais non, à peine débarqués et restaurés, ils font la grimace, critiquent la qualité des repas offerts et même les refusent en les jetant à terre. Ils réclament la nourriture de leur pays d’origine, se plaignent des structures d’accueil, de la présence de moustiques dans leurs chambres, certains étant pourtant logés dans des hôtels trois étoiles avec piscine, dans des chambres dotées de tout le confort. Ils se lamentent de la lenteur administrative pour l’obtention de leurs papiers, exigent avec arrogance leurs droits, sans mentionner leurs devoirs, et l’expriment parfois avec violence, en créant des émeutes, bloquant des routes, agressant les policiers, sans oublier les affrontements ethniques dans les centres d’accueil.

En guise de remerciement de leur avoir sauvé la vie, leur ingratitude dessine bien souvent des sourires amers sur les lèvres de leurs bienfaiteurs.

« Tandis que des centaines de milliers de familles italiennes font la queue pour obtenir un plat de pâtes, les immigrants méprisent, ce que notre pays leur donne généreusement. Des milliers d’Italiens vivent dans la pauvreté et ne mangent même pas un repas par jour, et bien sûr, encore moins deux ou trois. Ils ne se plaignent pas que la nourriture n’est pas bonne, ni que ce n’est pas la nourriture de leur pays.

Mais quand vous êtes hébergé chez quelqu’un, vous mangez sa nourriture, non ?

Les nombreuses fois où j’ai été hébergé en Angleterre, je ne m’attendais pas à manger des spaghettis. »
– Antonio De Lieto, président du syndicat de la police Libero Sindicato di Polizia, a ainsi exprimé son indignation.

Voir en ligne : http://www.dreuz.info/2014/10/stop-...