J’avais jeté un froid par mon discours d’adieu,** Quittant Narbonne pour aller en Martinique, J’y citais Finkielkraut - qu’avais-je fait, mon Dieu ! - Lui qui au grand Meirieu faisait si bien la nique.
Avec lui je dénonçais la "pensée cucul" Cette braderie de la vertu du travail A laquelle j’avais (...)